『balado conscient』のカバーアート

balado conscient

balado conscient

著者: Claude Schryer
無料で聴く

このコンテンツについて

Saison 6 présente (surtout) des QINZAINES : des conversations de 15 minutes avec des artistes et des travailleurs culturels explorant le thème 'arts et la culture en temps de crise, d'effondrement et de renouveau' ainsi que quelques TABLES RONDES : des conversations informelles de longue durée avec des amis et des collègues sur leurs passions, leurs craintes et leurs rêves. Mon Substack « a calm presence » continue.CC BY 4.0 Claude Schryer アート 社会科学
エピソード
  • ENCORE é55 france trépanier– un petit instant
    2025/07/12
    Je pense que ce cycle du colonialisme, et de ce que ça a apporté, on est en train d'arriver à la fin de ce cycle là aussi, et avec le recul, on va s'apercevoir que cela a été un tout petit instant dans un espace beaucoup plus vaste, et qu’on est en train de retourner à des connaissances très profondes. Qu'est-ce que ça veut dire de vivre ici sur cette planète? Ce que ça implique comme possibilité, mais comme responsabilité aussi de maintenir les relations harmonieuses? Moi, je dis que suis la solution à la crise climatique c'est cardiaque. Ça va passer par le cœur. On parle d'amour avec la planète. C'est ça, le travail.Je vous invite cette fois à écouter ou a réécouter l’épisode 55 du balado conscient, ma conversation avec l’artiste, la commissaire et chercheure d’ascendance Kanien’kéha:ka et française, France Trépanier, enregistrée le 7 juin, 2021, en pleine pandémie COVID, sur Zoom à partir de ma maison à Ottawa et celle de France en Colombie britannique. J’avoue que cette conversation a exercé une grande influence dans ma vie au niveau de ma compréhension du temps et de l’espace. France nous parle de Terra nullius et comment ‘il s'est passé quelque chose au moment du contact, au moment où les Européens sont arrivés avec cette notion-là de propriété’. Elle parle aussi de la vision éurocentrique et élitiste des pratiques artistiques et comme cela va être un tout petit instant dans l'histoire et comment les premiers arrivants ici n'ont pas compris ce qui était en face d'eux, d’où le titre ‘un petit instant’. France parle aussi de la tragédiedu Canada dans le sens que les nouveaux venus n'ont jamais pu adopter les cultures d'ici. Donc une grande mésentente persiste mais peut-être qu’il n’est pas trop tard. Merci encore à France pour cet entretien. Bonne écoute.Notes d’épisode générée par l’IA Whisper TranscribePoints d'action Réévaluez votre perception de la réalité en explorant les différentes sphères de l’existence et en reconnaissant votre subjectivité.Adoptez une approche cardiaque face à la crise climatique, en renouant avec l’amour de la planète et en agissant avec responsabilité.Reconnaissez l’importance des arts autochtones et leur rôle central dans le système des arts au Canada, en favorisant un équilibre culturel.Écoutez attentivement les savoirs traditionnels et les perspectives autochtones pour une compréhension plus profonde de notre relation au territoire.Ralentissez et méditez avant de chercher des solutions rapides aux problèmes complexes, en adoptant une approche décoloniale.Aperçu de l'histoireImaginez un monde où l’art est intrinsèquement lié à la vie quotidienne et où la sagesse ancestrale guide nos actions. France Trépanier nous invite à repenser notre relation à la terre et à l’art, nous rappelant que l’écoute et l’amour sont les clés pour surmonter la crise écologique.Chapîtres00:00 Introduction à l’Épisode 5502:12 Le Colonialisme et Terra Nullius07:36 La Notion de Réalité10:19 Le Deuil Écologique13:21 Reconnexion avec la Nature16:06 Rêver la Terre20:20 Redéfinir l’Art26:03 L’Art et le Changement Climatique29:13 Dissonance Cognitive et Réalité32:16 Les Pratiques Artistiques Autochtones36:09 Réécriture et Écoute40:00 Vers une Nouvelle Approche du Savoir43:20 Ralentir et Écouter46:00 Vers une Nouvelle SaisonCitationsMoi, je dis la solution à la crise climatique, c’est cardiaque. Ça va passer par le cœur. C’est de retomber en amour avec la planète. C’est ça le travail. La vraie tragédie, c’est que les nouveaux venus n’ont pas adopté la culture d’ici. C’est un processus d’écoute profonde, d’écoute attendue. Derrière l'histoireFrance Trépanier partage son parcours en tant qu’artiste, commissaire et chercheuse d’ascendance Kanien’kéha:ka et française. Installée sur le territoire non cédé des Lekwungen, elle explore comment les visions eurocentriques ont déconnecté les humains de la nature et comment les pratiques artistiques autochtones peuvent nous reconnecter. *NOTES DE FIN D'ÉPISODEBonjour chers auditeurs et auditrices de conscientJe produis ce balado dans le cadre d'un voyage d'apprentissage et de désapprentissage depuis mai 2020 sur le territoire non cédé des nations Anishinaabe Algonquins (Ottawa). C'est ma façon de rendre la pareille.Enfin, parallèlement à la production du balado conscient, je produis le conscient podcast en anglais et un Substack (en anglais) intitulée ‘a calm presence’ (une présence calme). Pour vous abonner gratuitement, voir https://acalmpresence.substack.com. Vos commentaires sont toujours les bienvenus à claude@conscient.ca ou sur les médias sociaux : Facebook, Instagram, Linkedin, Threads, BlueSky, Mastodon, Tik Tok, YouTube et Substack.Claude SchryerDernière mise à jour le 8 juillet 2025
    続きを読む 一部表示
    47 分
  • é168 emily marie séguin – dénoncer les injustices
    2025/07/09
    Je pense que c'est important de reconnaître l'histoire, en fait de se mettre dans le contexte de l'histoire, de comprendre que depuis le début des temps, dans différentes communautés et dans différents coins du monde, l'art a été utilisé pour dénoncer les injustices qui existent dans notre société et dans notre monde. Puis, tout dépendant de la période, c'était utilisé comme outil pour parler au public et pour faire des connexions, souvent contre les institutions problématiques. Et donc, je pense que la plupart des artistes occupent encore cet espace, même s'ils ne se rendent pas compte.Ma conversation avec Emily Marie Séguin, une interprète, musicienne, créatrice de théâtre et artiste visuelle bispirituelle d'origine française et Anishinaabeg, qui crée des œuvres pour honorer ceux qui l’ont précédée et pour élever ceux qui viendront après elle. En tant qu’artiste visuel, Emily crée des œuvres qui s’intéresse à la corrélation entre l’identité queer, les insectes et les plantes. Je voulais parler à Emily parce qu'elle est membre d'Éclore, un collectif qui jette des ponts entre les communautés artistiques, environnementales et militantes, en rassemblant les gens et en faisant naître l'espoir d'un avenir plus juste et plus durable. J'ai déjà parlé d'Éclore avec Léa Vandycke, dans l'épisode 164 de balado conscient. Emily va nous raconter l'histoire d'Éclore de son point de vue et parlera de son propre travail ainsi que de sa vision en tant qu'artiste autochtone, dont le projet G’zaagiin maleńki – je te promets une forêt. J'ai également eu une conversation en anglais avec Emily, voir conscient podcast e234. Notes d’épisode generée par l’IA Whisper TranscribePoints d'action Reconnaître l'art comme un outil de commentaire social et de construction de la communauté.Accepter l'espoir comme une source de motivation pour créer le changement et soutenir les autres.Soutenir les mouvements locaux et autochtones pour la justice environnementale et sociale.Concentrer l'énergie sur des passions spécifiques pour créer un impact significatif.Tirer des leçons de l'histoire des mouvements passés et des ancêtres afin d'éclairer les actions actuelles.Aperçu de l'histoireImaginez l'art comme une ligne de vie qui nous relie les uns aux autres et à la terre. Emily Marie Séguin partage son expérience de l'utilisation de l'art pour lutter contre l'injustice, construire une communauté et cultiver l'espoir dans un monde qui semble souvent accablant.Chapîtres00:00 L’art comme voix de la justice01:08 Rencontre avec Emily Marie Séguin02:16 L’art et la création de communautés04:30 L’art à travers le temps05:14 Le collectif Éclore10:33 Les projets artistiques d’EmilyCitations L’art nous permet d’avoir un langage commun, même si c’est avec différents outils, différentes manières de créer, pour parler de vraies choses, pour parler d’humanité.Je pense que c’est la force d’Éclore, de rassembler en fait.Je pense que c’est vraiment important de reconnaître le rôle des communautés autochtones dans les mouvements sociaux et environnementaux.Derrière l'histoireEmily Marie Séguin, artiste bi-spirituelle d'origine française et anishinabeg, collabore avec le collectif Éclore pour jeter des ponts entre les communautés artistiques, environnementales et militantes. Son travail, y compris le projet G’zaagiin maleńki – je te promets une forêt, vise à honorer les ancêtres et à élever les générations futures en favorisant les liens et en faisant la promotion de la gérance de l'environnement. *NOTES DE FIN D'ÉPISODEBonjour chers auditeurs et auditrices de conscientJe produis ce balado dans le cadre d'un voyage d'apprentissage et de désapprentissage depuis mai 2020 sur le territoire non cédé des nations Anishinaabe Algonquins (Ottawa). C'est ma façon de rendre la pareille.Enfin, parallèlement à la production du balado conscient, je produis le conscient podcast en anglais et un Substack (en anglais) intitulée ‘a calm presence’ (une présence calme). Pour vous abonner gratuitement, voir https://acalmpresence.substack.com. Vos commentaires sont toujours les bienvenus à claude@conscient.ca ou sur les médias sociaux : Facebook, Instagram, Linkedin, Threads, BlueSky, Mastodon, Tik Tok, YouTube et Substack.Claude SchryerDernière mise à jour le 8 juillet 2025
    続きを読む 一部表示
    15 分
  • é167 table ronde – abondance
    2025/04/20
    C'est comme le narratif est juste autour des choses qu'on va devoir enlever de nos vies. On ne parle jamais des choses qu'on va gagner, qu'on va reprendre le contrôle, ce qu'on va avoir de plus. (Antonia Leney-Granger) Pour moi, l'abondance, c'est la connexion, la relation avec la source. Quand on est en relation avec la source, la source de la vie, on est en abondance. (Jimmy Ung)Le plaisir de se lever le matin en se demandant pas ce qu'on va faire, mais en se demandant qu'est-ce qu'on a envie de faire. Changer la question, changer comment on se parle à nous-mêmes, comment on aborde cette ouverture. Puis je pense que c'est le temps de parler de l'abondance comme on l'entend. (Monique Savoie)L’abondance existe si j’ai de la gratitude. Si je suis capable de dire j’ai au lieu de je veux, est-elle là l’abondance. (Louise Poulin)La première table ronde du balado conscient, 13 avril 2025 avec Monique Savoie (Nini), Jimmy Ung, Rasha Masalkhi, Antonia Leney-Granger, Alexis Curodeau-Codère, Louise Poulin et moi-même. Cette conversation a eu lieu à Tiohtià:ke, située sur le territoire autochtone non cédé, ancestralement habitée et gardienne par la nation Kanien'kehá:ka (Mohawk), autrement connu sous le nom de Montréal. Les tables rondes du balado conscient sont des discussions informelles de longue durée avec des amis et des collègues sur leurs passions, leurs craintes et leurs rêves. Voici l'enregistrement de notre conversation « tel quel ». Durant l’enregistrement je mentionne le site web https://createcanada.ca: 'un espace pour générer des idées audacieuses et réalisables qui exploitent le pouvoir de la culture pour dynamiser le Canada dans un monde qui évolue rapidement'. Ça se passe en anglais et ca vaut la peine. Bonne écoute et un grand merci aux participant-e-s de cette table ronde. Notes d'épisode générées par Whisper Transcribe AIPoints d’actionFavoriser le dialogue au-delà des clivages culturels afin d'instaurer la confiance et la compréhensionIntégrer l'art dans la vie quotidienne pour renforcer l'engagement communautaire et la richesse culturelleRéclamer la création artistique comme un droit universel, en donnant aux individus les moyens de s'exprimerRedéfinir l'abondance au-delà du consumérisme, en se concentrant sur la plénitude écologique et la distribution équitableS'attaquer aux privilèges et promouvoir l'accessibilité pour assurer une participation équitable aux artsAperçuDans un monde en proie à la division et à l'incertitude, un groupe de 6 artistes et travailleurs culturels montréalais se réunit pour explorer le pouvoir de l'art, les complexités de l'identité et l'espoir d'un avenir plus connecté. Des histoires personnelles d'immigration aux réflexions profondes sur la responsabilité écologique, leur conversation tisse une riche tapisserie d'idées et d'inspiration.Chapîtres00:00 Introduction à la Table Ronde02:45 Réflexion, Méditation et Confiance06:54 Identité, Héritage et Patrimoine22:03 Responsabilité Environnementale et Dialogue Communautaire32:12 L’Art comme Langage Universel36:27 Inconfort, Conflit et Réconciliation par l’Art48:12 Économie des Arts et Durabilité57:13 Abondance, Précarité et Valeur de l’Art01:06:42 L’Art comme Pratique Universelle et Nouveaux Paradigmes01:20:58 Créativité, Engagement Communautaire et Joie01:36:29 Réflexion sur le Lâcher-Prise et ÉcouteCitationsAlexis Curodeau-Codère : L’outil le plus puissant contre le fascisme, c’est de se faire confiance.Antonia Leney-Granger : Comment on peut, avec des gestes simples, mais aussi faits en communauté, dans le collectif, sentir qu’on retrouve cette prise-là sur le monde.Jimmy Ung : Si un peuple est déraciné, il faut l’aider à s’ancrer. Puis s’il y a une communauté qui est désancrée, il faut l’aider à s’enraciner.Louise Poulin : L’abondance existe si j’ai de la gratitude.Monique Savoie : Le plaisir de se lever le matin en se demandant pas ce qu’on va faire, mais en se demandant qu’est-ce qu’on a envie de faire.Rasha Masalkhi : L’art, c’est pour tout le monde. On doit vraiment souligner ça.Derrière l'histoireCet épisode capte une conversation honnête et vulnérable entre des individus passionnés par l'art et son impact sur la société. Ils s'attaquent à des questions complexes - disparités économiques, identité culturelle, crises écologiques - en cherchant à trouver des voies vers une meilleure compréhension et une meilleure connexion, avec sang-froid et de la joie. Leurs histoires offrent un aperçu des défis et des possibilités de construire un monde plus équitable et plus durable. *NOTES DE FIN D'ÉPISODEBonjour chers auditeurs et auditrices de conscientJe produis ce balado dans le cadre d'un voyage d'apprentissage et de désapprentissage depuis mai 2020 sur le territoire non cédé des nations Anishinaabe Algonquins (Ottawa). C'est ma façon de ...
    続きを読む 一部表示
    1 時間 51 分

balado conscientに寄せられたリスナーの声

カスタマーレビュー:以下のタブを選択することで、他のサイトのレビューをご覧になれます。