エピソード

  • FonkMasters Spécial Quincy Jones
    2024/11/07

    Rendons hommage à un géant de la musique qui nous a quitté le 3 novembre. Sa carrière est absolument pléthorique, il a travaillé avec tout le monde et dans tous les genres ; mais nous sommes dans FonkMasters, et nous allons donc explorer la partie la plus funky de son histoire, voici Quincy Jones.

    Por l'album "The Dude" Quincy Jones réunit une équipe qui va le suivre longtemps : Louis Johnson à la basse, David Foster et Greg Phillinganes aux claviers, Paulinho Da Costa aux percus, des musiciens invités comme Herbie Hancock ou Steve Lukather de Toto, et des choristes célèbres comme James Ingram ou Michael Jackson... En fait, l'un des grands talents de Quincy Jones a été de savoir réunir un nombre impressionnant de pointures pour jouer sa musique et de stars pour chanter dans les choeurs, ce qui lui-même appellera le "All Stars Choir" et lui permettra d'organiser et produire en 1985 USA for Africa et aussi l'album le plus vendu de l'histoire : Thriller. La production qui lui a servi d'entraînement est l'album de Donna Summer sorti en 1982, qui a plutôt bien marché, mais fut une expérience déplaisante en partie à cause du manque d'implication de la chanteuse. Le résultat n'en est pas moins excellent et donnera par la suite des idées de production géniales, du genre utiliser un synthé-jouet de chez Casio pour faire une ligne de basse, ou se frotter la tête et se taper sur la poitrine pour faire un son de batterie, sans oublier, bien entendu, le fameux All Stars Choir...

    Une petite bombe sort en 1981, l'album Off the wall, première collaboration entre Quincy Jones et Michael Jackson, qui vous le savez, va se révéler extrêmement fructueuse. On y retrouve son équipe de musiciens favoris, mais aussi Rod Temperton qu'on retrouvera sur l'album suivant, une déflagration nucléaire que sera Thriller en 1983. On n'oublie pas les productions d'albums pour George Benson, les Brothers Johnson, James Ingram, Rufus & Chaka Khan, Patti Austin, et tant d'autres...

    1989 voit l'apparition de nouvel album de Quincy : Back on the block. Je laisse tomber la liste des invités sur cet album, il y en a des pages, et je vous laisse consulter les liens ci-dessous pour en savoir plus, mais ça a donné un album foisonnant, luxueux, et tout simplement incoryable récompensé par 7 Grammy Awards.

    Pour le dernier titre de cette sélection, on sort un peu du funk pur avec ce standard de Weather report réimaginé par un Quincy Jones explosif, et encore une fois un nombre de stars à la minute de musique juste impressionnant dont Ella Fitzgerald, Sarah Vaughan, Al Jarreau, Chaka Khan, Mile Davis, Luther Vandross, George Benson, et tellement d'autres ! Cet album est vraiment un truc de ouf, sans oublier l'ingé son qui m'a donné l'envie de me plonger dans ce métier : Bruce Swedien qui a forgé un son d'anthologie.
    Bref, je suis à court d'adjectifs pour qualifier Quincy Jones, sa musique, ses productions, ses équipes, son génie.

    Playlist :
    Quincy Jones, album The Dude, 1981 :
    Betcha wouldn't hurt me (feat. Patti Austin)
    Razzmatazz (feat. Patti Austin)
    The Dude (feat. James Ingram)
    Turn on the action (feat. Patti Austin) 'r

    Donna Summer : If it hurts just a little (Donna Summer, 1982)
    Donna Summer : Love is in control (Donna Summer, 1982)
    Michael Jackson : Don't stop 'til you get enough (Off the wall, 1981)
    Michael Jackson : P.Y.T. Pretty young thing (Thriller, 1983)

    Quincy Jones, album Back on the block, 1989 :
    I'll be goo to you (feat. Chaka Khan & Ray Charles)
    I don't go for that (feat. Siedah Garett)
    One man woman (feat. Siedah Garett)
    We B. dooinit (Feat. Siedah Garrett & Bobby McFerrin)
    Jazz corner of the world (feat. Big Daddy Kane, Kool Moe Dee, Dizzy Gillespie, Ella Fitzgerald, George Benson, James Moody, Josef Zawinul, Miles Davis & Sarah Vaughan)
    Birdland (feat. Ella Fitzgerald & Sarah Vaughan)

    Liens :
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Quincy_Jones
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Back_on_the_Block

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    1 時間
  • Spécial The Bar Kays
    2024/06/14

    C'est toujours étonnant de constater que des groupes dont on connaît quelques succès ici en Europe existent en fait depuis trèèès longtemps, ont des carrières longues comme le bras et existent encore aujourd'hui. C'est le cas de Bar Kays, un groupe né en 1964 à Memphis Tennessee. C'était d'abord un groupe de studio, qui a travaillé entre autres avec Otis Redding. 4 membres du groupe sont décédés avec Otis Redding dans ce fameux accident du 10 décembre 1967. Mais le groupe s'est reformé et a continué une très belle carrière dont nous n'allons explorer ici que la partie Funk, de 1976 à 1984 ; sans oublier quand même en 1967 un instrumental, Soul finger, qui a fait le tour des radios.

    Les albums se sont succédés à raison d'une voire même deux par an, avec des hits comme Whatever it is, Shut the funk up ou le fameux Holy Ghost qui leur ont apporté les honneurs des charts du moins aux US ; en Europe, le disco fait rage et éclipse toute une génération de groupe funk qu'on redécouvre aujourd'hui ; mais c'est une autre histoire.

    Je vous laisse compulser leur histoire et la liste interminable de leur production phonographique avec les liens que je vous laisse ci-dessous. Vous y découvrirez des vidéos montrant que le groupe, repris en main par Phalon Alexander, fils du bassiste originel du groupe, a toujours la forme et enchaîne les tournées en interprétant leurs plus grands tubes.

    Playlist :
    To hot to stop (To hot to stop, 1976)
    Shake Your Rump to the Funk (To hot to stop, 1976)
    Whatever It Is (Flying High on Your Love, 1977)
    Shut The Funk Up (Flying High on Your Love, 1977)
    Holy Ghost (Money Talks, 1978)
    Shine (Light of Life, 1978)
    Move Your Boogie Body (Injoy, 1979)
    Nightcruising (Nightcruising, 1981)
    Hit and run (Nightcruising, 1981)
    She Talks To Me With Her Body (Propositions, 1982)
    Do It (Let Me See You Shake) (Propositions, 1982)
    Sexomatic (Dangerous, 1984)

    Liens :
    https://fr.wikipedia.org/wiki/The_Bar-Kays
    https://staxrecords.com/spotlight/the-bar-kays-2/
    https://www.youtube.com/watch?v=jXWmIf-g9XQ
    https://youtu.be/pRUoifckeQE?si=XpgBMcCtgSuc_EYA

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    58 分
  • Spécial D Train
    2024/03/29

    On oublie souvent que D Train c'est un groupe, un duo composé de James "D-Train" Williams au chant et Hubert Eaves III qui en fait fait tout le reste, ce dernier faisant aussi partie du groupe Mtume.
    Ils se sont rencontrés à Brooklyn et ont commencé à travailler ensemble en utilisant le surnom de Williams, D Train, tiré de ses prouesses sur le terrain de football américain.
    Dès leur premier titre, la voix de James Williams s'est imposée dans le monde du funk, tout comme les arrangements et la production de Hubert Eaves III, musicien déjà bien établi dans le monde du jazz et du funk.
    Premier single, premier carton avec "You're the One for Me" à la fin de 1981.

    Music, le deuxième album, est sorti en 1983 avec là encore une flopée de titres ravageurs dont on retiendra Music et Keep givin' me love. S'en suivront l'album Something's on Your Mind, dont le tube fut le titre éponyme, et qui fut le dernier album du duo qui s'est dissous en 1985. Mais la carrière de James Williams a continué en solo sous le même nom, D Train, et même la participation de Hubert Eaves à la production de certains titres.

    Le premier album solo de James "D Train" Williams est sorti en 1986. Intitulé Miracles of the heart, il nous a offert plusieurs succès comme Misunderstanding, et des titres toujours aussi efficaces comme You are everything.
    Sa carrière ne s'est pas terminée ainsi puisqu'il a sorti In your eyes en 1988, et 701 Franklin avenue en 2009. Il a aussi composé pour d'autres artistes comme Patti Austin ou George Duke, chanté sur des bandes originales de films, animé des émissions de radio, et bien d'autres choses encore.
    Tous ces tubes et hymnes de dancefloor en ont fait un groupe et un artiste indispensable dans votre discothèque funk.

    Playlist :
    Album "You're the One for me" (1982) :

    - D Train Theme - You're the One for me - Keep on - Walk on by

    Album "Music" (1983)

    - Music - Keep givin' me love

    Album "Something on your mind" (1984)

    - Hustle and bustle in the city - Something's on your mind - I'll do anything

    Album "Miracles of the heart" (1986)

    - You are everything

    Liens :
    https://en.wikipedia.org/wiki/D_Train_(music_group)
    https://www.nostalgie.fr/artistes/d-train/biographie
    https://www.vibration-funk.com/article/d-train
    https://www.musiculture.fr/d-train/

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    59 分
  • Spécial The Gap Band
    2024/02/23

    The Gap Band, un groupe né en 1967 et dont le nom vient des trois rues du quartier des trois frères Wilson, créateurs du groupe : Geenwood, Archer and Pine. Charlie, Ronnie et RObert Wilson ont sorti deux albums en 1974 et 77 qui n'ont pas connu le succès, il n'y a même pas eu de single sorti.
    C'est avec le producteur Lonnie Simmons que le groupe a vraiment percé dans les charts avec un premier tube en 1979 : Shake. Dans la même année sort leur album The Gap Band II et la renommée arrive avec le tube I don't believe you want to get up and dance et ses accents de P-Funk avec le monologue parlé et cet effet d'écho sur la voix.

    Les albums à cette époque sortaient à un rythme effrené : deux albums The Gap Band plus l'album The Gap Band II sortis tous les 3 en 1979, puis le III en 1980, celui-ci contenant des morceaux très énergiques tels que Gash gash gash, puis le IV en 1982 et le célèbre Early in the morning gros tube mondial tout autant que Party Train tiré de l'album suivant : Gap Band V : Jammin' en 1983.

    Après l'apogée du début des années 80, le succès s'est estompé malgré le rythme toujours soutenu d'un album par an jusqu'en 1989. Charlie Wilson a commencé une carrière solo avec un single Charlie, last name Wilson qui fut numéro un, et les featuring dont le fameux Computer Love de Zapp dont on a parlé dansun autre épisode.

    Après une pause de 5 ans, le groupe a recommencé à sortir des albums, sans Charlie qui avait sa carrière solo florissante, puis un passage à vide au début des années 90 qui l'ont amené à abuser des drogues et de l'alcool et finir SDF dans les rues d'Hollywood boulevard. Il doit son retour à l'avant-scène aux nombreux artistes de Rn'B avec lesquels il a fait des featurings, et au fait que la musique du Gap band est une des plus samplées de l'histoire, le titre Outstanding à lui seul ayant été samplé plus de 150 fois.
    Encore un goupe majeur, un maître du funk qui méritait bien un numéro de FonkMasters. On se quitte avec titre de Snoop Dog où Charlie Wilson figure au côté de Justin Timberlake. On se retrouve très bientôt pour un nouveau numéro de FonkMasters, n'oubliez pas de jeter un oeil aux liens que je vous laisse sur la page Facebook et celle du podcast pour en savoir plus. Allez, salut maintenant.

    Playlist :
    Shake (The Gap Band, 1979)
    Who do you call (The Gap Band II, 1979)
    I Don’t Believe You Want to Get Up and Dance (Oops !) (The Gap Band II, 1979)
    Gash gash gash (The Gap Band III, 1980)
    Talkin' back (Gap Band IV, 1982)
    Early in the Monring (Gap Band IV, 1982)
    Outstanding (Gap Band IV, 1982)
    Party Train (Gap Band V : Jammin', 1983)
    Weak Spot (Gap Band VI, 1985)
    Disrespect ((Gap Band VI, 1985)
    Bumping gum people (Gap Band VII, 1985)
    Snoop Dog - Signs (featuring Charlie Wilson and Justin Timberlake) (R and G (Rhythm and Gangsta): The Masterpiece, 2004)

    Liens :
    https://gapband.com/
    https://www.allmusic.com/artist/the-gap-band-mn0000073383
    https://en.wikipedia.org/wiki/The_Gap_Band
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Charlie_Wilson_(musicien)

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    1 時間
  • Spécial Randy Muller
    2024/02/02

    Randy Muller. Je sais que ce nom à priori ne vous dit rien, mais sachez qu'il a été un des plus grands producteurs et promoteur du funk newyorkais. En revanche, si je vous dis Skyy et Brass Construction, voilà qui est plus parlant pour vous, Non ?
    La période la plus florissante du son Muller est 1975 à 1986 avec Brass Construction tout d'abord, et le tube qui les a lancé en 1975 : Movin'
    On y retrouve déjà les fondamentaux du son Muller : la basse qui balance, les cuivres top niveau, les claviers nappants, des refrains qui restent en tête et ce groove qui a fait danser le monde pendant deux décennies.
    Randy Muller peut se targer d'avoir avec raison, refusé un contrat avec la Motown. On connaît l'emprise que cette maison de disques avait sur ses artistes, et donc il craignait pour sa liberté créative. Le groupe a donc signé avec Salsoul et a immédiatement connu le succès avec Music Makes You Feel Like Dancing et aussi avec Can you see the light.
    Changement de maison de disques dans les années 80 avec un son qui devient plus synthétique et l'arrivée des boîtes à rythmes Avec l'album Conversations et le titre Walking the lines qui fut un hit sur les pistes de danse en 1983.
    On dit souvent que les rencontres sont importantes dans la vie. Pour Randy Muller il y a eu Wade Williamson, Larry Payton et surtout Jeff Lane avec qui il formera Brass Construction. Mais il y a eu aussi Solomon Roberts Junior qui a formé le groupe Skyy que notre homme va produire. Et ca va donner des hits planétaires comme Here's to you, Let's celebrate et Show me the way.
    Bien entendu, la carrière ne Randy Muller ne s'est pas arrêtée là. La production d'artistes majeur de ces années funk et disco comme Rafael Cameron ou BT Express lui ont permis d'accrocher des disques d'or dans tout son salon et surtout nous faire danser des années 70 aux années 90 ; nous n'avons fait ici qu'exposer quelques tubes de cette immense carrière. Cliquez sur les liens ci-dessous pour en savoir plus
    Playlist :
    Brass Construction : Movin' (album Brass Construction, 1975)
    Brass Construction : Music makes you feel like dancin'(Brass Construction 5, 1979)
    Brass Construction : Can you see the light (Attitudes, 1982)
    Brass Construction : Walking the line (Conversations, 1983)
    Skyy : High (Skyyport, 1980)
    Skyy : I can't get enough (Skyyport, 1980)
    Skyy : Here's to you (Skyyport, 1980)
    Skyy : Let's celebrate (Skayyjammer, 1982)
    Skyy : Show me the way (Skyylight, 1983)
    Rafael Cameron : Let's get it off (Cameron, 1980)

    Liens utiles :
    https://www.redbullmusicacademy.com/lectures/randy-muller-fixing-inner-frequencies
    https://www.musiculture.fr/randy-muller-ame-new-york/
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Brass_Construction
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Skyy
    https://en.wikipedia.org/wiki/Rafael_Cameron

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    59 分
  • Zapp !
    2024/01/19

    Zapp ! un nom qui frappe et qui claque, un peu comme leur musique : des claps énormes, des guitares qui crépitent, et bien sûr le roi de la talkbox : Roger Troutman. Leur premier album date de 1980 et contient déjà des pépites posant les bases de cet electrofunk qui fera leur succès, telles que More Bounce to the ounce.
    Zapp est originaire de Dayton dans l'Ohio. Il repose sur les frères Troutman : Larry, Lester, Terry (surnommé Zapp) et Roger. Après une carrière discrète commencée dans les année 60, ils ont débuté sous le nom de Zapp en travaillant avec Bootsy Collins, ce qui leur a permis de décrocher un contrat avec la Warner.
    En 1982 sort leur second album : Zapp II, contenant l'incontournable Dance floor, qui dure 11 minutes !, mais aussi Doo wha Ditty (Blow that thing) et Playing kinda ruff.
    En 1983 et 85 sortent Zapp III et The new Zapp IV U deux albums au succès moindre et entachés par la brouille avec Bootsy Collins. On en retiendra les titres Play some blues, It doesn't really matter et leur plus grand tube : Computer love.
    Zapp a été très samplé par les rappeurs de la côte ouest dans les années 90 et Roger a fait des featurings dans nombre de tubes Rn'B à cette époque (souvenez-vous de California Love), années qui signent la fin du groupe et la mort des deux frères Larry et Roger, des cisconstances floues que je vous propose de découvrir avec les liens que je vous indique ci-dessous.
    Le groupe s'est dissous après la mort de Roger, mais a refait surface quelques années plus tard sur son propre label avec l'album Zapp VI Back by popular demand et certains titres bien dansants comme She's 'bout to roll, The way you walk and move, et Get up off the wall.
    En 2018 est sorti un album, Zapp VII - Roger and friends, produits par Lester Troutman Jr ET Sr, et contenant la toute dernière chanson écrite par Roger, ainsi que des featurings de Tuxedo, Bootsy Collins, Mr. Talkbox ou Snoop Dog pour ne citer qu'eux. L'esprit Zapp est là, la talkbox bien présente, et les titres dansant comme Make it funky ou After party vous font vous déhancher comme à la belle époque. Le groupe est donc reformé autour des frères et des fils Troutman, et ils sont en tournée, on guette donc leur passage dans nos contrées.

    Playlist :
    More bounce to the ounce (Zapp, 1980)
    Dancefloor (Zapp II, 1982)
    Doo Wa Ditty (Blow that thing) (Zapp II, 1982)
    Playin' kinda ruff (Zapp II, 1982)
    Play some blues (Zapp III, 1983)
    It doesn't really matter (The New Zapp IV U, 1985)
    Computer love (The New Zapp IV U, 1985)
    Fire (Zapp V, 1989)
    Get up off the wall (Zapp VI: Back by Popular Demand, 2003)
    Make it funky (Zapp VII: Roger & Friends, 2018)
    After party (Zapp VII: Roger & Friends, 2018)

    Pour en savoir plus :
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Zapp
    https://www.thezappband.com/
    https://www.wikiwand.com/fr/Zapp
    https://www.musiculture.fr/zapp-band/
    https://wikimonde.com/article/Zapp
    https://www.facebook.com/zappband/?locale=fr_FR
    https://www.instagram.com/thezappband/?next=%2Frociorasquin_%2F&hl=fr

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    58 分
  • Alexander O'Neal & Cherelle
    2023/11/24

    Aujourd'hui un numéro consacré à deux artistes dont les carrières se sont rejointes, par le truchement de leurs producteurs, Jimmy Jam et Terry Lewis, dont nous avons déjà parlé.
    D'abord Alexander O'Neal qui a débuté sa carrière avec le groupe Flyte Tyme composé des deux producteurs précités, puis le groupe Alexander.
    Alexander O'Neal a falli faire partie du groupe Time produit par Prince. Mais suite à une mésentente avec ce dernier, il a engagé une carrière solo avec l'album Alexander O'Neal en 1985, et surtout Hearsay, son meilleur album en 1987,certifié disque d'or aux US et carrément triple platine au Royaume Uni. Il est tout aussi célèbre pour ses balades humides et langoureuses qui ont fait le bonheur des dragueurs dans les alcôves des boîtes de nuit. Et aussi des tubes midtempo ou mellow comme The Lovers.
    Ses duos avec Cherelle sont tout aussi célàbres avec Never knew love like this ainsi que le fameux hit Saturday love, repris et remixé maintes fois, ce qui va nous permettre d'aborder ensuite la carrière de Cherelle.

    Cheryl Ann Norton, tel est son vrai nom, a travaillé comme choriste avec de nombreux artistes dont Luther Vandross. Son premier album, bien entendu produit par Jimmy Jam et Terry Lewis et contient déjà des tubes comme par exemple I didn't mean to turn you on, chanson reprise par Robert Palmer qui aimait bien le funk.
    Son album High Priority sorti en 1985 a cartonné, devenant disque d'or, propulsé par le hit Saturday love avec ALexander O'Neal, et aussi par Artificial Heart avec son son bien ancré dans les années 80.
    Son dernier album , Affair, est incontestablement le meilleur, avec une production au milimètre, et ses 5 titres enchaînés dont trois à la même tonalité et au même tempo.

    Deux artistes talentueux avec nombre de titres inoubliables et toujours cette production léchée de l'équipe de FLyte Tyme, je vous mets ci-dessous le lien vers le podcast du numéro spécial que je leur ai consacré.

    Playlist

    Alexander O'Neal, Album Hearsay, 1987 :
    Fake
    (What can I say) to make you love me
    Criticize
    The lovers
    Never Knew Love Like This (en duo avec Cherelle)

    Cherelle :
    Saturday love (en duo avec Alexander O'Neal, album High Priority, 1985)
    I didn't mean to turn you on (Fragile, 1985)
    Fragile... handle with care (Fragile, 1985)
    Artificial heart (High Priority, 1985)
    Discreet (Affair, 1988)
    Affair (Affair, 1988)

    Pour en savoir plus :
    https://www.top80radio.com/la-biographie-de-alexander-oneal/
    https://www.alexander-oneal.com/
    https://www.youtube.com/channel/UCWqxaujJ5MPMdRAb_fQHZJw
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Alexander_O%27Neal
    https://www.discogs.com/fr/artist/68674-Cherrelle
    https://www.last.fm/music/Cherrelle/+wiki
    https://en.wikipedia.org/wiki/Cherrelle
    https://fonkmasterspafm.lepodcast.fr/special-jam-et-lewis

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    59 分
  • Aurra
    2023/11/10

    Dans ce numéro, explorons la carrière du groupe Aurra, groupe qui a connu pas mal de vicissitudes. Le groupe a commencé par une extension du groupe Slave sous l'impulsion du bassiste Steve Washington qui a réuni Philipe Field (de Mtume) et plus tard Curt Jones et Starleana Young, les principaux chanteurs, exposés sur les pochettes.
    Leurs premiers succès arrivent en 1980 avec le fameux Are you single avec sa ligne de basse grasse et lourde. Puis en 1981 sort l'album Send your love contenant Make up your mind, leur plus gros succès.
    Après cette vague de succès, l'album Like I like it sort avec quelques pépites comme le titre éponyme, mais des désaccords commencent à pointer dans le groupe, en particulier sur le nom du groupe, ce qui poussera les deux chanteurs à enregistrer de leur côté sous le nom de Déjà.
    Leur premier titre sous ce nom, Serious, est produit par Monte Moir du groupe Time. Et sur cet album figurait You and me tonight sorti aussi aussi sous le nom d'Aurra et qui atteindra les hauteurs des charts américains en finissant à la seconde place.

    En 2013, Family Groove a ressorti les enregistrements perdus d'Aurra, ce qui en fait aurait dû être leur 5ème album : Satisfaction. En résulte quelques pépites comme Somethings tells me, mais aussi Turn the lights down low ou Perfect date. Quant à Déjà, ils ont sorti d'autres albums, le dernier datant de 2019. Un groupe à l'histoire compliquée donc, mais a su nous faire transpirer sur les pistes de dans depuis 1980, ce qui n'est pas rien.

    Playlist :
    Aurra - Are you single ? (Aurra, 1980)
    Aurra - Keep doin' it (Send your love, 1981)
    Aurra - Make up your mind (Send your love, 1981)
    Aurra - Send your love (Send your love, 1981)
    Aurra - Checking you out (A little love, 1982)
    Aurra - Positive (Live and let live, 1983)
    Aurra - Like I like it (Like I like it (Bedtime story aux USA), 1985)
    Aurra - You and me tonight (sorti en single en 1986)
    Déjà - Serious (Made to Be Together , 1989)
    Aurra - - Something tells me (Satisfaction, 2013)

    Pour en savoir plus
    https://www.vibration-funk.com/article/aurra
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Aurra
    https://www.discogs.com/fr/artist/8402-Aurra
    https://www.wikiwand.com/fr/Aurra

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    58 分