Tu sais, c'est ce moment où accompagner commence à ne plus te faire autant vibrer…

où ton feu commence à s’étouffer, à se recroqueviller,

où tu continues parce qu’"il faut bien" — mais sans plus y croire tout à fait comme avant.

Dans cet épisode, je te parle de ce passage quand la pratique qu’on a construite avec passion commence à devenir pesante, enfermante, asphyxiante, parfois même amère.

Je t’y raconte comment j’ai compris que ce n’était pas un échec,

mais un signal de transformation.

Un appel à faire du tri, à t’écouter, à remettre du vivant et du plaisir dans ta pratique. A remettre du TOI.

Parce qu’à force de vouloir bien faire, on finit parfois par se faire taire.

Et que la fatigue, l’amertume, la rage, la perte de kiff…

sont souvent les messagères d’un réalignement à venir.

💜

Et si tu veux aller plus loin,

je t’invite à ma masterclass gratuite :

"T’as pas signé pour subir. T’as signé pour vibrer."

Ce sera vendredi 7 novembre, de 12h à 14h (heure de Paris).

Deux heures de transmission de 🔥 à 🔥 pour commencer à remettre du sens, du plaisir et du vivant dans ta pratique et ton activité.

Tu peux t’inscrire via ce lien.

Tu trouveras toutes les informations de la masterclass en suivant le lien de réservation.

🎧 Thèmes : fatigue, désalignement, posture d’accompagnant·e, émotions, transformation, suradaptation, créativité

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MERCI !

Ce titre, c’est un peu ma punchline du moment.

Après plusieurs mois à vivre un nouveau post-partum, à désapprendre le workaholisme et à réapprendre la joie tranquille, j’avais envie d’enregistrer cette audiolettre zinzin.

J’y parle de fin de cycle, de renaissance, du sevrage du productivisme, du plaisir de ralentir, de la réhumanisation du métier d’accompagnant·e, de ce corps que j’ai redécouvert, et de cette flamme qu’on peut rallumer sans se cramer.

Ce n’est pas un épisode de plus, c’est une lettre pour celles et ceux qui ont besoin de se retrouver, de se réaligner, de respirer, de kiffer.

J’y partage mon propre feu doux, mes réflexions de personne humaine, de mère, d’accompagnante et de conteuse.

Avec humour, franchise et un peu de poésie. 🔥

Si toi aussi tu sens qu’un cycle se termine, si t’as envie de remettre du sens, du kiff et du corps dans ta vie ou dans ta pratique, cette audiolettre est pour toi.

🎧 Thèmes : accompagnement, fin de cycle, renaissance, postpartum, émotions, féminisme, réhumanisation, créativité, travail aligné, reliance, joie, transformation.

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MERCI !

En mai 2025, en plein cœur de mon congé maternité, j’ai créé une archive sonore.

Un récit personnel, brut, sensible, enregistré dans le cadre de l’atelier Archiver l’intime proposé par Nathalie Sejean.

À la base, la proposition était d’archiver l’intime d’un·e autre.

Mais j’ai choisi de m’archiver moi.

Ce que vous allez écouter, c’est un fragment de mon troisième post-partum.

Mais c’est aussi un hommage à ce qu’on traverse quand on s’autorise à se dire,

à voix haute, entièrement, sans attendre qu’on nous en donne l’autorisation.

J’ai enregistré cette archive pour moi. Pour garder une trace.

Pour me voir, me ressentir, me comprendre.

Et aujourd’hui, je vous la partage. Par souci de réciprocité.

Par envie de vous inviter à créer vos propres récits.

Et pour incarner, pleinement, ce que je transmets depuis des années :

• l’intime est politique et universel
• la voix et la vulnérabilité choisie sont empuissançantes

Bonne écoute.

🎙️ Et si cette archive résonne pour vous, écrivez-moi.

Ou si vous avez envie, vous aussi, d'un voyage introspectif et de créer votre propre récit sonore, contactez-moi : il se pourrait bien que je prépare quelque chose dans ce sens.

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🎙 Et si tout ne se jouait pas dans nos cabinets ? Et si accompagner, c’était aussi agir, raconter, politiser ?

Dans cette deuxième partie de la table ronde Laisser la Justice faire son travail ?, enregistrée en public le 24 septembre 2024 pendant le Punchlines Festival, les membres du groupe de réflexion Hypnose et Justice — Camille Tisseyre, Aurélie Pignon, Tifaine Dayot Tressières et Elsa Couteiller — poursuivent leur échange engagé.

Au programme :

• les plus grands tilts et repositionnements provoqués par ce travail collectif
• la nécessité de penser la justice en dehors de la Justice
• l'accompagnement des auteurices de violences et la responsabilité des accompagnants
• la question d’agir au-delà du cabinet, individuellement et collectivement
• comment nos émotions, notre colère, notre humanité peuvent nourrir nos accompagnements
• la critique de la neutralité et l’importance d’un accompagnement incarné, situé, féministe

🎧 L’épisode inclut également un échange riche avec le public, autour des thèmes suivants :

– la colère et la peur d’être submergé·e

– la responsabilité émotionnelle de l’accompagnant·e

– la beauté du collectif et du rêve partagé

– et cette idée essentielle : ce n’est pas parce qu’on est touché·e qu’on est incapable d’accompagner.

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🎙 Quelle est notre place, comme accompagnant·es, quand la justice échoue ? Que signifie "réparer", quand la réparation judiciaire ne vient pas ?

Dans cette première partie de la table ronde "Laisser la Justice faire son travail ?", enregistrée le 24 septembre 2024 dans le cadre du Punchlines Festival, quatre accompagnantes formées à l'hypnose — Camille Tisseyre, Aurélie Pignon, Tifaine Dayot Tressières et moi-même Elsa Couteiller — partagent le fruit de leur groupe de réflexion “Hypnose et Justice”.

Depuis un an, ce collectif interroge les liens entre accompagnement, justice/Justice, et hypnose.

Dans cet épisode, on revient sur :

• la genèse du groupe et ses intentions
• la frustration partagée face à l’impuissance dans nos accompagnements
• les dissonances entre les récits de réparation en hypnose et la réalité de l’injustice vécue
• le rôle de l’écoute réparatrice, sans promesse de solution
• la tentation de la posture de sauveuse/justicière et les limites de notre pouvoir
• la nécessité de repolitiser notre posture dans et hors du cabinet

Un échange honnête, sensible et collectif pour élargir nos perspectives sur la notion de justice/Justice, et remettre au centre nos choix de posture, nos valeurs, et notre responsabilité d’accompagnant·es dans une société violente.

👉 La partie 2, avec d’autres dimensions et l'échange avec le public présent lors de l'enregistrement, arrive très bientôt.

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Se défendre sans se trahir. Changer quand rien ne peut changer.

Dans cette deuxième partie de la table ronde avec Anne van Hyfte Morel, enregistrée en public le 1er octobre 2024 pendant le Punchlines Festival, on explore ce que signifie accompagner — vraiment — dans un monde où tout ne peut pas toujours changer.

Si vous n’avez pas encore écouté la partie 1, c’est par là qu’il faut commencer : on y découvre les fondements de la méthode MEVIP (Mentale, Émotionnelle, Verbale, Intellectuelle et Physique), et on y parle de sidération, de pouvoir d’agir, et de l’auto-défense comme outil d’émancipation et d'empuissancement joyeux.

Dans cette suite :

Anne nous parle de sa BD "Défends-toi toi-même", co-créée avec Kei Lam, publiée chez L’Iconoclaste — une BD comme outil d’auto-défense et de transmission, à lire, partager, offrir.

On explore ce que signifie accompagner quand il n’y a rien à “réparer”, ni à “sauver”.

On questionne la place du collectif, du doute, de la co-construction dans les outils d’accompagnement.

On aborde la critique de la CNV et la manière dont certains outils dits “bienveillants” peuvent reproduire des oppressions systémiques.

On affirme qu’il n’existe pas de lieu 100% safe — même en amour, en militantisme, en amitié — et que nos ressentis ne sont pas négociables.

🎧 En fin d’épisode, vous entendrez aussi les échanges avec le public : des partages puissants et des prises de conscience collectives. On y parle de désespoir, de réparation impossible, et de ce qu’on peut faire avec ça, ensemble.

Cette table ronde est une invitation à reprendre son pouvoir. À s’équiper. À se rappeler qu’on a le droit de se défendre — et même de le faire avec joie et surtout ensemble, à plusieurs.

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Et si se défendre devenait une compétence vitale, joyeuse et politique ?

Est-ce que tu sais reconnaître une agression, même quand elle est silencieuse, diffuse, ou "socialement acceptable" ?

Est-ce que tu t’es déjà senti·e coupable de ne pas avoir su réagir “comme il faut” ?

Et si apprendre à se défendre, c’était aussi apprendre à se respecter, à se croire, à s’écouter ?

Dans cette première partie de la table ronde enregistrée le 1er octobre 2024 lors du Punchlines Festival, je reçois Anne van Hyfte Morel, comédienne, metteuse en scène, praticienne en hypnose ericksonienne, communicante thérapeutique (maïeusthésie), et surtout : créatrice de la méthode d’auto-défense MEVIP.

MEVIP = Mentale, Émotionnelle, Verbale, Intellectuelle et Physique.

Une approche complète, vivante, radicale et profondément humaine de l’auto-défense globale face aux agressions, discriminations et violences systémiques.

🧠 Cette méthode m’a transformée.

Je fais partie des premières pros à avoir suivi sa formation en 2023, et cette transmission m’a offert un mélange rare de clarté, d’émotion, et de puissance collective.

Dans cette première partie, nous explorons :

• La genèse de la méthode MEVIP et son ancrage dans le corps, le théâtre, la communication thérapeutique
• Ce qu’il se passe quand on perd l’accès à ses ressources en situation de sidération
• Pourquoi la joie peut devenir un outil d’auto-défense
• Ce que ça change de poser la question : Est-ce que je veux avoir raison ou est-ce que je veux être libre ?
• L’importance de s’autoriser à se défendre, dans la rue, au travail, en famille, partout
• Les fondamentaux d’une posture de défense juste : attention, intention, respiration

Cette table ronde est une invitation à reprendre son pouvoir. À s’équiper. À se rappeler qu’on a le droit de se défendre — et même de le faire avec joie et surtout ensemble, à plusieurs.

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Quand je porte ma voix, quelle expérience j’ai envie de faire vivre ?

C’est la question centrale de cette deuxième partie de la table ronde Porter sa voix, enregistrée en public le 23 septembre 2024 lors du Punchlines Festival.

🎤 Avec moi au micro : Cindy Nipau, podcast manager, productrice et réalisatrice sonore.

Cindy accompagne les voix, les récits et les messages pour changer le monde. Elle m’a aidée à relancer ce podcast, ACCOMPAGNANT·ES, entre avril et septembre 2024 — avec finesse, écoute et créativité.

Dans cette deuxième partie, on explore :

• Mon propre déblocage autour de la prise de parole
• Le podcast comme un médium à part entière, corporel et intime
• Ce que le son permet que d’autres formats n’autorisent pas
• La puissance de commencer avec ce qu’on a déjà
• Pourquoi porter sa voix, c’est sortir du mode caméléon
• L’importance d’être honnête avec soi, avant de s’adresser aux autres

Et ce qu’il reste à inventer pour que le podcast devienne encore plus un outil d’impact et d’influence politique

🎧 En fin d’épisode, vous entendrez aussi les résonances du public présent lors de l’enregistrement.

💡 Cet épisode est fait pour toi si tu es :

créateur·rice de contenu, accompagnant·e, artiste, militant·e, ou simplement une personne sensible qui sent que sa voix mérite d’exister pleinement.

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