Torturée par la Gestapo, décorée par de Gaulle… et pourtant, jamais reconnue sainte.Pourquoi Yvonne-Aimée de Malestroit (1901-1951) demeure-t-elle dans l’ombre, alors que toute son existence fut un don de soi ?Cette vidéo retrace son destin : une enfance marquée par la charité, l’appel foudroyant de 1922, l’entrée au monastère, les secours aux résistants, l’arrestation et la torture, puis l’hommage officiel de la Nation.Mais derrière cette vie donnée jusqu’au bout, une question demeure : comment a-t-elle pu susciter tant de soupçons, jusque dans son propre camp ? Était-ce parce qu’elle était une femme ? ou parce que ses phénomènes mystiques — extases, stigmates, bilocations, parfums, pluies de fleurs — dérangeaient l’ordre établi ?Et pourtant, l’Église le rappelle sans cesse : la sainteté ne se mesure pas aux prodiges, mais à l’héroïcité des vertus.... Alors, pourquoi ?

Cette nouvelle vidéo nous conduit dans le Devonshire (au Royaume-Uni) en 1855 quand des empreintes de sabot ressemblant à celles d’un âne sont apparues en une seule nuit, en ligne droite sur la neige fraîchement tombée comme si elles avaient été produites par une créature bipède et ce sur une distance de plus de 160 kilomètres !D’autres traces mystérieuses et inexpliquées ont été découvertes à travers le monde.Bon visionnage !N’hésitez pas à venir voir ma page Facebook (https://www.facebook.com/profile.php?id=61552787705456 ) j’annonce les prochaines sujets, faites-moi part de vos propres expériences.Merci pour votre fidélité !

Bonjour à tous, Découvrons aujourd'hui la vie de Maria Crocifissa qui, un matin d'août 1676, sera retrouvée inconsciente, le visage couvert d'encre, tenant dans sa main une étrange lettre sur laquelle figuraient un alphabet inconnu et d'obscures symboles. Plus tard, Sœur Maria Crocifissa avouera que le Diable en personne l'aurait contrainte à rédiger cette lettre. Celle-ci sera conservée durant 4 siècles au Monastère bénédictin de Palma di Montechiaro où Maria Crocifissa repose. De nombreux linguistes tenteront d’en déchiffrer le contenu mais il faudra attendre l'année 2017 pour qu'une intelligence artificielle soit enfin en mesure d'en décrypter le contenu. Bon visionnage !

Découvrez l'histoire de Karen Greenlee, arrêtée à 23 ans pour avoir détourné le corbillard qu'elle conduisait au cimetière avec le cadavre qu'il contenait.Après son arrestation elle avouera avoir abusé de 20 à 40 cadavres d'hommes.Karen Greenlee sera condamnée à une peine de prison de 11 jours et devra payer une amende de 255 dollars. La peine était très faible car à son époque la nécrophilie n'était pas considérée comme un crime.Bon visionnage.

Retournez avec moi au 63 Wycliffe Road, à Battersea, dans la banlieue de Londres.le vendredi 27 janvier 1956, Shirley Hitchings trouve une ancienne clé en argent sur son oreiller. C'est à partir de cet événement que la famille Hitchings basculera dans une horreur sans fin.Heureusement, le chercheur en paranormal, Harold Shibett viendra apporter son aide à la famille. Il s'installera chez eux et dès lors une communication prendra place entre le poltergeist, appelé Donald et Harold. L'entité se disait être l'esprit désincarné du Prince Louis Charles, fils de Louis XVI et de Marie-Antoinette... Mais qui était-il vraiment ?Il faudra attendre l'année 1968 pour que Donald quitte définitivement les Hitchings laissant une note finale: "my work is done."

Hollymount Farm, isolée dans la campagne du Lancashire, a été le théâtre de phénomènes étranges sur trois générations d’une même famille.Pas de photos. Pas d’enregistrements. Rien… sauf les témoignages concordants de Liam, de ses parents, de ses amis. Tous parlent de bruits de pas dans l’escalier, de portes qui claquent, d’objets qui bougent… et surtout de deux présences persistantes : un petit garçon vêtu à l’ancienne, et une silhouette encapuchonnée.L’enquête menée par la BBC dans l’émission Uncanny a mis au jour un autre pan de l’histoire : le terrain de la ferme se trouve sur les anciennes terres d’un couvent-orphelinat victorien, fermé temporairement au début du XXᵉ siècle après un scandale d’abus, de malnutrition et de sévices sur enfants.Des archives de l’époque évoquent des enfants affamés, malades, parfois réduits à l’état de squelettes vivants. Parmi eux… y avait-il le petit garçon de Hollymount Farm vu par tant de témoins ?

Dans cette vidéo, je vous raconte l’histoire d’un homme qui, pour la première fois, fut désigné par un mot encore inconnu du grand public : nécrophile.Au milieu du XIXe siècle, François Bertrand, sergent dans l’armée française, déterre des cadavres de femmes pour assouvir ses pulsions morbides. Derrière l’image d’un jeune sous-officier poli et pieux, se cache un trouble profond, une « maladie » selon ses propres termes, qui le pousse à profaner les sépultures nuit après nuit. Qui était réellement cet homme à la double face ?Était-il fou ?Comment la justice de 1849 a-t-elle jugé des actes pour lesquels il n’existait même pas encore de mot ?À partir de sa confession manuscrite, des travaux médicaux contemporains et de la thèse fondatrice du docteur Alexis Épaulard, je retrace dans cette vidéo l’un des cas les plus glaçants de l’histoire criminelle française.Vous découvrirez comment le terme « nécrophilie » est né, comment la science psychiatrique a tenté de classer l’inclassable, et pourquoi cette affaire, malgré sa monstruosité, est presque tombée dans l’oubli.👉 Une enquête rigoureuse, des sources rares, et une plongée dans l’abîme d’un esprit qui fascine autant qu’il terrifie.🎥 Abonnez-vous à la chaîne pour ne rien manquer des prochaines enquêtes.#histoirecriminelle #necrophilie #sergentbertrand #faitsdivers #psychiatrie #criminalité #criminologie #vampiredumontparnasseSource :Épaulard Alexis, Vampirisme : nécrophilie, nécrosadisme, nécrophagie (thèse de médecine, Lyon, 1901)Amandine Malivin, « Le nécrophile, pervers insaisissable (France, XIXe siècle) », Criminocorpus 7 (2016) – Étude historique sur l’affaire Bertrand et la construction du discours médico-légal sur la nécrophilie.Jules L. Lunier, « Examen médico-légal d’un cas de monomanie instinctive – Affaire du sergent Bertrand », in Annales médico-psychologiques, t. I, 1849, p. 351-379

Derrière les dorures et les salons feutrés de la Nouvelle-Orléans, une vérité glaçante : Delphine LaLaurie, figure mondaine et respectée, cachait dans sa demeure un véritable théâtre de l’horreur. Sous ses airs de bienfaitrice se dissimulait une femme cruelle, responsable de sévices innommables infligés à ses esclaves. Son nom est devenu, à travers les siècles, le symbole absolu des abus et de la brutalité du système esclavagiste. Dans cette vidéo, je vous raconte l’histoire vraie, loin des légendes sensationnalistes destinées à nourrir les "ghost tours". Ici, pas de fantômes pour détourner l'attention, mais des faits, des victimes oubliées, et une réalité bien plus glaçante que les fictions de celle que l’on surnomme aujourd’hui le “monstre de Royal Street”._____________SOURCES : Carolyn Morrow Long “Madame Lalaurie, Mistress of the Haunted House” . University Press of Florida.