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Spécial - L'enflure des titres sur LinkedIn - Parce que... c'est l'épisode 0x620!

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Parce que… c’est l’épisode 0x620! Shameless plug 10 et 11 septembre 2025 - GoSec 2025 Code rabais de 15% - GSPOL25 13 septembre 2025 - BSides Montreal 202512 au 17 octobre 2025 - Objective by the sea v814 et 15 octobre 2025 - Forum inCyber Canada Code rabais de 30% - CA25KDUX92 10 au 12 novembre 2025 - IAQ - Le Rendez-vous IA Québec17 au 20 novembre 2025 - European Cyber Week25 et 26 février 2026 - SéQCure 2026 Description L’inflation des titres sur LinkedIn et dans l’informatique Dans cet épisode, NLF et Davy Adam abordent un phénomène problématique qui touche le secteur informatique : l’inflation et la dénaturation des titres professionnels, particulièrement visible sur LinkedIn. Ils observent que des métiers traditionnels et essentiels comme technicien, administrateur système ou administrateur de base de données ont quasiment disparu au profit de titres plus ronflants comme “architecte”, “consultant”, “expert” ou “spécialiste”. La disparition des métiers de base Davy Adam note qu’il ne croise pratiquement plus d’administrateurs système ou réseau dans ses formations, alors que ces rôles restent fondamentaux pour le bon fonctionnement des infrastructures informatiques. Les professionnels préfèrent se présenter comme “spécialistes sécurité” quand ils font du réseau basique, ou “architectes cloud” quand ils administrent du Windows sur Azure. Cette dévalorisation des métiers techniques de base pose problème car ces rôles sont essentiels. Comme le souligne NLF, sans bons administrateurs et techniciens pour opérer les infrastructures, les dommages peuvent être énormes. L’excellence dans ces qualifications est très importante et ne devrait pas être dévalorisée. Le malentendu autour du rôle d’architecte Les intervenants expliquent que le titre d’architecte a un sens précis, similaire à celui d’un architecte de bâtiment. Un vrai architecte informatique doit : Écouter le client en premier lieu pour comprendre ses besoins réelsReformuler la demande avec le client, ce qui aide souvent ce dernier à clarifier ses véritables besoinsConcevoir des plans en appliquant les bonnes pratiques et normesDocumenter ses recommandations de manière claireAvoir une vision transversale sans être expert dans tous les domaines Au Québec notamment, il existe une présomption qu’un architecte sait rédiger, analyser et documenter, compétences souvent absentes chez ceux qui s’autoproclament architectes tout en excellant dans l’opérationnel. Les problèmes de recrutement et d’attentes Cette confusion des titres crée des dysfonctionnements : Pour les recruteurs : ils cherchent des “architectes” pour faire de l’implémentation techniquePour les consultants : on leur propose des missions opérationnelles alors qu’ils veulent faire du conseil stratégiquePour les clients : leurs attentes ne correspondent pas aux profils recrutés Davy Adam utilise l’analogie médicale : on ne demande pas à un chirurgien orthopédique de couper les ongles, même s’il en a techniquement la capacité. La hiérarchisation des rôles n’est pas un jugement de valeur mais une question de répartition efficace des compétences. La vraie nature du consulting Les deux experts insistent sur ce qu’est réellement le consulting : Intervention ponctuelle : quelques jours par mois chez plusieurs clients plutôt qu’une présence permanenteConseil à la demande : comme un avocat ou un médecin qu’on consulte pour son expertiseSynthèse d’expérience : apporter la richesse de multiples expériences vécues chez différents clientsAutonomisation des équipes : donner les clés pour que les équipes internes puissent implémenter Davy Adam compare son profil à un “couteau suisse” : de multiples capacités sans être le meilleur dans aucune, mais avec la capacité de faire le lien entre tous les domaines. Les défis du freelancing et les malentendus Les consultants freelance font face à des demandes inadéquates : Missions de résidence alors qu’ils cherchent du conseil ponctuelTâches opérationnelles alors qu’ils veulent faire de la stratégieAttentes de présence permanente incompatibles avec leur modèle économique NLF et Davy Adam expliquent que leur valeur réside dans la diversité de leurs expériences, pas dans une expertise approfondie unique. Ils préfèrent refuser des missions inadéquates plutôt que de créer de la frustration mutuelle. L’aspect économique du consulting Le consulting coûte plus cher à l’heure mais reste moins onéreux sur l’année car : Usage ponctuel : on ne paie que quand on a besoin du consultantExpertise concentrée : résolution rapide des problématiquesPas de coûts de structure : pas de charges sociales permanentes Comme le dit Davy Adam : “Je synthétise 10 ans d’expérience en une journée et réponds à toutes tes questions.” L’intelligence artificielle ne remplace pas l’...
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