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Gros Câlin

Gros Câlin

著者: Kinoko
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このコンテンツについて

Le podcast qui se demande pourquoi on éduque nos enfants comme nous le faisons !Qaund on prend le temps d'explorer les manières dont on éduque nos enfants, on peut être surpris par les motivations de nos choix éducatifs ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Kinoko
人間関係 子育て 心理学 心理学・心の健康 衛生・健康的な生活
エピソード
  • 47 • Dit-on je t'aime trop souvent ou pas assez ?
    2024/12/24

    Est-ce qu'on dit assez souvent "je t'aime" à nos proches ? Est-ce que ça veut toujours dire quelque chose d'aussi fort à force de le répéter ?

    Dans cet épisode, on plonge vraiment au cœur du sujet. On commence avec des petites anecdotes, comme celle de notre fille qui dit des "je t'aime" très facilement à tout le monde. Ça peut être à ses copains de classe, à la caissière du supermarché, ou même à des inconnus. Et là, on se demande : est-ce que c'est pas un peu trop ? Mais en même temps, c'est tellement pur et sincère qu'on en vient à se questionner sur notre propre rapport à ces mots.


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    On explore aussi ce que ça veut dire pour nous, adultes, de dire "je t'aime." Est-ce que ça nous vient naturellement ou est-ce qu'on a tendance à se retenir ? Est-ce qu'on pense que nos actions parlent d'elles-mêmes et que les mots sont superflus, ou est-ce qu'on a peur de paraître vulnérables en les disant ? Franchement, moi-même je me rends compte que parfois, je ne le dis pas assez. On parle aussi des barrières qu'on se met, parfois inconsciemment, à cause de notre éducation ou de nos expériences passées.


    Il y a un moment dans l'épisode où on réfléchit à comment nos parents nous ont (ou pas) dit "je t'aime" et comment ça a influencé notre façon de communiquer aujourd'hui. Pour certains d'entre nous, dire "je t'aime" n'était pas vraiment dans le vocabulaire quotidien à la maison. Mais est-ce que ça veut dire qu'il y avait moins d'amour ? Pas forcément. Alors on essaie de comprendre comment on peut casser ce cycle, ou au contraire, l'entretenir si on est dans une dynamique où les mots circulent librement.


    Et puis, il y a aussi cette réflexion sur le fait de trop dire "je t'aime." Est-ce que ça dilue la signification de ces mots ? Si on le dit tout le temps, est-ce que ça devient juste une phrase automatique, sans véritable émotion derrière ? On se pose vraiment la question et on essaie d'y répondre ensemble, sans jugement.


    Ce que j'adore dans cet épisode, c'est qu'il est à la fois léger et profond. On rit, on se remémore des souvenirs, mais on se prend aussi des petites claques de réalité. C'est un peu comme une thérapie de groupe, mais sans la pression d'avoir à trouver toutes les réponses. On discute de nos expériences, de nos maladresses, de nos succès, et on réalise qu'on est tous dans le même bateau, à essayer de naviguer entre ce qu'on ressent et ce qu'on exprime.


    Et au final, ce que vous allez découvrir en écoutant cet épisode, c'est que dire "je t'aime", c'est plus qu'une simple phrase. C'est un acte de courage, d'humilité, et parfois, c'est juste un moyen de se rappeler qu'on est humains et qu'on a besoin les uns des autres. Alors si vous avez déjà ressenti ce petit pincement au cœur en vous demandant si vous devriez dire "je t'aime" plus souvent, ou si vous êtes simplement curieux de savoir comment d'autres vivent cette question, cet épisode est pour vous.


    Prenez une boisson, installez-vous confortablement, et laissez-vous porter par cette conversation pleine d'amour, de rires, et de sincérité. Vous verrez, c'est un vrai moment de douceur, mais aussi de réflexion. Alors, bonne écoute et surtout, n'oubliez pas de dire "je t'aime" à ceux qui comptent pour vous, même si ça fait bizarre au début. Parce que finalement, on ne le dit jamais trop.


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    41 分
  • 46 • Bilans, montagnes russes émotionnelles et thérapies — Journal Audio #3
    2024/12/10

    Enregistrement du 31 janvier 2024.

    Pour retrouver l'épisode précédent du journal audio, écoutez l'épisode 42 de Gros Câlin.

    Ça fait plus d’un mois que je n’ai pas pris le temps de m’enregistrer. Entre les fêtes, les rendez-vous médicaux, les réflexions personnelles et les montagnes russes émotionnelles, le temps a filé. Alors, qu’est-ce qui s’est passé depuis ?


    Les suites médicales : un parcours pas si simple

    Nous avons eu le dernier rendez-vous de contrôle avec le gynécologue début janvier. Le problème du résidu de tissu dans l’utérus semblait enfin se résorber, même si les médicaments n’ont pas fonctionné comme espéré. À force d’attente et de consultations, on a fini par entendre des mots rassurants : la situation semblait maîtrisée, et les soupçons d’adénomyose ou d’endométriose ont été clarifiés. Le gynécologue a pris le temps d’expliquer que la douleur n’était pas toujours proportionnelle à la quantité d’endométriose visible sur les examens, ce qui a aidé Julie à se sentir mieux prise en compte.

    Par ailleurs, il nous a aussi rassurés sur l’incompatibilité de Rhésus, une source d’angoisse. Apparemment, les cas graves restent extrêmement rares, ce qui a permis de respirer un peu sur ce front.


    Julie a ressenti le besoin de reprendre des séances de thérapie, et je l’ai encouragée. Elle avait déjà expérimenté l’EMDR il y a quelques années avec succès, et cela semblait une bonne option pour traiter les traumatismes récents. De mon côté, sa psychologue a gentiment soulevé une question pertinente : « Et vous, avez-vous pensé à voir quelqu’un ? »

    Honnêtement, je ne ressentais pas le besoin immédiat. Mais en creusant, certaines choses ont refait surface. Cette incapacité à pleurer dans des moments de deuil, cette tension intrafamiliale pendant les fêtes de fin d’année qui revient en boucle dans ma tête, et ce besoin constant d’un regard extérieur pour valider ou éclairer certaines choses... Tout cela m’a poussé à envisager sérieusement une nouvelle thérapie.

    Cependant, en réfléchissant à ma précédente expérience, j’ai réalisé que, même si elle avait été globalement positive, certaines approches ou comportements de ma thérapeute m’avaient laissé perplexe. Alors, plutôt que de retourner la voir, je me suis décidé à consulter quelqu’un de nouveau. Rendez-vous pris pour la mi-février.


    Un autre sujet délicat qui revient souvent ces derniers temps, c’est notre fille. Avec toute son innocence, elle évoque fréquemment son envie d’avoir un petit frère ou une petite sœur. Ce n’est pas une demande insistante, mais plutôt une projection naïve et régulière sur le futur. Cela nous rappelle constamment notre propre impatience et nos difficultés, ce qui peut parfois être lourd à porter.

    Nous avons aussi essayé de mieux comprendre le cycle de Julie en utilisant des tests d’ovulation. Jusqu’à présent, cela n’a pas vraiment clarifié la situation. Les résultats sont ambigus, ce qui rajoute un peu plus de confusion et de frustration.


    Enfin, il faut le dire, cet hiver est une épreuve en soi. Entre les rinites, sinusites, bronchites et autres joyeusetés, nous enchaînons les maladies depuis décembre. Quatre mois de microbes constants, ça finit par peser sur le moral et les forces.

    Nous avançons, un jour après l’autre. Les montagnes russes émotionnelles ne s’arrêtent pas, mais au moins, nous essayons de mieux les comprendre et de les gérer. Le rendez-vous avec la nouvelle thérapeute approche, et j’espère que ce sera un pas en avant pour sortir des cycles de pensée qui tournent en boucle.

    Ce journal audio me permet de poser les choses, de prendre du recul et d’organiser un peu le chaos dans ma tête. Je reviendrai enregistrer après cette première séance pour voir ce que cela m’apporte.

    À suivre.


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    47 分
  • 45 • Comment on a parlé de la mort à notre fille
    2024/11/26

    Parler de la mort à ses enfants, franchement, c’est un sujet qui met toujours un peu mal à l’aise. On a peur de dire un truc qui va les chambouler, on a peur de ne pas en dire assez, ou trop… et au final, on se retrouve à balbutier ou à remettre ça à plus tard. Mais le truc, c’est que la mort, ça fait partie de la vie, et tôt ou tard, ils vont poser des questions ou y être confrontés. Et là, on fait quoi ?


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    Honnêtement, je ne pense pas qu’il existe une solution parfaite ou une façon universelle d’aborder le sujet. Chaque enfant est différent, et nous, les parents, on fait comme on peut avec nos propres émotions et nos propres croyances. Mais je crois que la base, c’est d’être sincère, dans la mesure où l’enfant est capable de comprendre. Et pour ça, il faut d’abord écouter. Qu’est-ce qu’ils savent déjà ? Qu’est-ce qu’ils veulent vraiment savoir ? Parfois, leurs questions sont bien plus simples que ce qu’on imagine.


    Quand un enfant demande : « C’est quoi la mort ? », ce n’est pas forcément l’occasion de lui faire un exposé métaphysique. Peut-être qu’ils veulent juste savoir pourquoi le poisson rouge ne bouge plus. Là, il faut être clair, même si c’est dur : « La mort, c’est quand le corps arrête de fonctionner. Le poisson ne respirera plus, il ne mangera plus. » Et c’est tout. Pas besoin de leur donner tout le poids de nos angoisses existentielles.


    Mais parfois, leurs questions vont plus loin : « Où il est, après ? », « Ça arrive à tout le monde ? », « Est-ce que toi aussi, tu vas mourir ? » Et là, on entre dans le dur. Perso, je pense qu’il faut adapter ses réponses à son propre ressenti et à ce que l’enfant peut comprendre à son âge. Certains préfèrent parler de leurs croyances religieuses ou spirituelles, d’autres restent très terre-à-terre. Ce qui compte, c’est de ne pas minimiser leurs émotions ni éviter leurs questions. Même si on ne sait pas quoi répondre, on peut dire : « Je ne sais pas exactement, mais on peut en parler ensemble. »


    Le plus compliqué, c’est quand la mort touche quelqu’un de proche. Là, on est soi-même en plein dedans, avec notre propre peine, et il faut en plus trouver les mots pour un enfant. C’est dur, parce qu’on veut les protéger, mais en même temps, il ne faut pas faire comme si de rien n’était. Les enfants sentent tout, ils savent quand quelque chose ne va pas. Alors, leur dire la vérité, avec douceur, c’est important. Par exemple : « Mamie est morte, et c’est normal d’être triste, moi aussi je le suis. Si tu veux pleurer ou poser des questions, je suis là. »


    Et puis, il y a cette fameuse peur de leur donner « trop d’informations ». Pourtant, je pense que les enfants sont souvent plus résilients qu’on ne le croit. Ce n’est pas parce qu’ils pleurent ou qu’ils ont peur qu’on a fait une erreur en leur parlant. Au contraire, c’est l’occasion de leur montrer qu’ils ont le droit de ressentir des émotions et de les exprimer. Parler de la mort, c’est aussi une façon de leur apprendre à vivre avec, à comprendre que c’est une partie de la vie.


    Alors non, il n’y a pas de mode d’emploi, et on ne saura jamais si on a fait « comme il faut ». Mais si on reste à l’écoute, sincère et bienveillant, je crois qu’on peut les accompagner au mieux dans ce sujet si complexe.


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    49 分

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