L’Algéro-italo-française Gabriela Belaïd est fondatrice et présidente du Cercle Olympe de Gouges et présidente de CentraleSupélec au Féminin. Elle est également directrice cybersécurité au sein de Tenexa. Engagée pour l’égalité, la lutte contre le sexisme et pour l’inclusion dans le numérique, elle œuvre au quotidien pour ouvrir les métiers du numérique et des sciences (STEM) aux jeunes filles et femmes.

Dans cet épisode, Gabriela Belaid alerte sur les biais sexistes dans la technologie. Elle incite les femmes à participer à la conception des nouvelles technologies pour éviter la reproduction de ces inégalités.

Crédits :

Sur une idée originale et présentée par Jocelyne Adriant-Mebtoul

Thomas Dorr au montage mixage et à la composition musicale

Camille Goasduff à la programmation

Ce podcast n’existerait pas sans l’aide et le soutien des volontaires et bénévoles qui gravitent autour de ce projet depuis le début.

Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L’Indienne Ayshka Najib est une militante pour la justice climatique vivant aux Emirats Arabes Unis. Elle est membre de Fridays for Future MAPA (Most Affected People in Areas), organisation qui agit dans les zones les plus affectées par le changement climatique. Eelle travaille également sur l’intersection entre le climat et le genre, aux côtés de l’ONU Femmes et de Génération Egalité.

Dans cet épisode, Ayshka Najib insiste sur l’importance de cette Conférence pour l’avancée des droits des femmes. Elle raconte également que les réflexions des féministes en 1995 sont toujours d’actualité, du point de vue de l’intersectionnalité entre le climat et le genre notamment.

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Camille Goasduff à la programmation

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La Péruvienne Gladys Acosta Vargas est avocate spécialisée dans la protection des droits humains. En 1995, elle a participé à la Conférence de Pékin en tant que membre de la délégation non-gouvernementale officielle. Très impliquée dans la lutte pour l’égalité femmes-hommes, elle a fait l’essentiel de son parcours professionnel à l’ONU et en particulier à l’UNESCO. Dans cet épisode, elle revient sur la Conférence de Pékin de 1995 insistant sur la présence des femmes autochtones, et sur leur lutte quotidienne pour leurs droits. Elle évoque également l’importance de s’en inspirer pour améliorer nos systèmes économiques et politiques.

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Camille Goasduff à la programmation

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