On entre rarement dans un studio photo les mains dans les poches.
La plupart du temps, on y entre avec un bagage invisible :
des complexes, des jugements, une image de soi qu’on porte depuis longtemps.
Parfois, cette image vient de loin.
De remarques de l’enfance, d’un miroir qu’on évite,
ou simplement de la manière dont on s’est toujours vu –
trop ceci, pas assez cela.
Moi, je le vois.
Dès que quelqu’un passe la porte de mon studio.
Dans la posture, dans la respiration, dans les yeux.
Et dans cet épisode, j’ai eu envie de parler de ça.
De ce regard intérieur que chacun porte sur lui-même.
De ce que ça déclenche dans une séance.
Et de ce que j’essaie de proposer à travers mon travail :
un regard plus doux. Plus juste. Moins pressé de juger.
Pourquoi beaucoup de gens arrivent déjà en “défense” devant l’objectif
L’écart entre l’image qu’on se fait de soi et celle que je vois
Mon rôle en tant que photographe : offrir un espace de vérité, sans pression
Des anecdotes de séances marquantes où une personne s’est découverte autrement
Ce que ça m’apprend sur l’humain… et sur moi-même
ne se sentent jamais "photogéniques"
portent un regard dur sur eux-mêmes
veulent comprendre ce qui se joue entre l’image et l’estime de soi
cherchent à se reconnecter à quelque chose de plus vrai, en eux
🧠 “Et si on se voyait autrement ?”
📱 Retrouve mes images et mon travail ici :
👉 @tonymathis_portraitsdart
🎙️ Un nouvel épisode d’ÉMERGENCES chaque mercredi.
Un podcast qui explore ce que l’image révèle de l’invisible.
🎙️ Au programme de cet épisode :✨ Un épisode pour celles et ceux qui :
ne se sentent jamais "photogéniques"
portent un regard dur sur eux-mêmes
veulent comprendre ce qui se joue entre l’image et l’estime de soi
cherchent à se reconnecter à quelque chose de plus vrai, en eux
📸 Ce podcast parle de photographie. Mais surtout… d’humanité.