Cycle « Ecopolien » | À la fin du monde, il fera beau
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Francesco Torrisi, directeur de la Maison de l’Île-de-France, s’est entretenu avec Florian Massip et Gabriel Perez pour parler de leur dernier ouvrage À la fin du monde il fera beau, afin de tenter de répondre aux questions suivantes : pourquoi ne se passe-t-il rien, ou si peu, au regard de la catastrophe annoncée ? Et comment le néolibéralisme, comme mode d’organisation des sociétés, s’organise-t-il face aux dérèglements climatiques ?
Si les questions climatiques peinent à être pensées et discutées, c’est parce que le néolibéralisme court-circuite les processus démocratiques. Un mot d’ordre s’impose : celui de l’adaptation. Comment s’y prend-il ? Dans un premier temps, le rôle de l’organisation du travail néolibérale dans l’inaction climatique est mis en évidence. Dans un second temps, il est montré comment la conception idéologique néolibérale du vivant vise à sous-estimer la crise écologique en cours et justifie également l’inaction climatique.
Cet entretien s’inscrit dans le cadre des séminaires Ecopolien, qui visent la mise en commun de connaissances scientifiques récentes en s’adressant aussi bien à un public académique qu’à un public non initié. Ces séminaires sont un espace de dialogue qui permet de mettre en relation la recherche et les enjeux sociaux et politiques liés aux bouleversements écologiques et climatiques en cours.
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