Pour ce nouvel épisode, j’ai reçu Zoé à mon micro. À 24 ans, Zoé vit en Norvège depuis trois ans. Nous avons retracé son rapport à l’amitié au fil du temps, initialement sans thème précis, et un fil conducteur s’est peu à peu dessiné, autour de la difficulté à parler de soi et à livrer ses émotions en amitié. Dans la première moitié de l’épisode, Zoé nous raconte ses relations adolescentes, marquées par une certaine pudeur qui lui convenait très bien. Elle nous explique la recherche de légèreté et la construction de relations basées sur la culture, la musique et le sport, qui ont perduré dans sa vie de jeune adulte. Sa trajectoire professionnelle l’amène finalement en Norvège ou peu à peu, Zoé découvre une autre manière de vivre l’amitié. Réunis par des valeurs communes et la vie loin de la famille, son cercle social devient de plus en plus solide, un pilier du quotidien avec qui construire des souvenirs et partager ses humeurs, ses tracas et ses joies.

J’ai eu une grande tendresse à enregistrer cet épisode avec Zoé car je sais combien il est difficile pour elle de se livrer, et pourtant, elle s'est très bien prêtée à l’exercice. Le récit de Zoé nous rappelle que tout s’apprend, que l’on peut trouver beaucoup de joie dans des relations basées sur les loisirs, que l’on peut apprendre à parler de soi et construire des relations équilibrées, que la spontanéité se cultive et que créer des souvenirs resserre les liens.

Avec Zoé nous avons parlé d’être amie avec les grands et de construire des fusées, de solitude, d’arriver dans un pays en couple et de repartir seule, de l’importance de la spontanéité, de l’humour et des loisirs, de se créer des souvenirs en commun, mais aussi de réussir à parler de soi et de chercher du soutien.

Je vous souhaite une belle écoute !

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Pour ce nouvel épisode, j’ai invité Jade à mon micro. Jade a 25 ans et elle nous raconte comment elle s’est retrouvée coincée dans une amitié toxique à l’adolescence, auprès d’une personne contrôlante et violente psychologiquement. Jade nous explique comment sa personnalité solaire et tournée vers les autres s’est transformée pour devenir renfermée, timide et isolée malgré elle. Elle revient sur les comportements qui l’ont affectée mais aussi sur la manière dont, progressivement, des gouttes d’eau ont rempli le vase de sa tolérance jusqu’à le faire déborder pour enfin réussir à dire non, à poser des limites et se défaire de cette relation d’emprise.

Avec Jade, nous avons parlé des colonies de vacances et de piercing au nombril, de contrôle absolu et de demande d’attention constante, d’hypervigilance et de lucidité mais aussi de réussir à s’affirmer pour retrouver sa liberté.

Je vous souhaite une belle écoute.

Je vous préviens que cet épisode décrit des violences psychologiques, il est à écouter dans de bonnes dispositions.

Pour ce nouvel épisode, c’est avec Mathilde que j’ai eu la chance de converser. À 23 ans, Mathilde nous parle de la place centrale que l’amitié occupe dans sa vie. Pour elle, c’est une ancre, un point central, une façon d’exister au monde, de découvrir la vie et de s’y épanouir.

Elle se confie sur la relation fondatrice qu’elle a construite avec son amie de toujours, une amitié riche en échanges, en communication, mais aussi marquée par des périodes de jalousie.

En avançant dans la vie adulte, Mathilde évoque sa façon de tisser du lien avec les gens, le rythme effréné de certaines relations passionnelles qui l’ont parfois dépassée ou même brûlée. Elle raconte comment ses liens ont évolué au fil du temps, pour aujourd’hui laisser place à des amitiés sécurisantes, profondément équilibrées et multiples... Oui, Mathilde a aujourd’hui sept meilleures amies, et elle en est comblée ! Car l’amour, chez elle, ne se divise pas : il se multiplie, et elle en a beaucoup à donner.

Avec Mathilde, nous avons parlé d’être cheffe de groupe et de coup d’État, de jalousie et de pop-corn dans les placards, des copines avant les garçons et d’un jumeau qu’on n’a jamais eu, de passion et du sentiment de trahison… Mais surtout, de l’amour qui transforme tout, et de la joie de découvrir la vie à travers l’amitié.

Je vous souhaite une belle écoute

Pour ce nouvel épisode, j’ai la joie d’avoir accueilli un duo à mon micro. Anton et Armelle sont venus me raconter leur amitié de plus de 20 ans — une histoire rare lorsqu'on en a à peine 25. De leur rencontre en maternelle jusqu'à l’âge adulte, ils nous partagent leur adolescence au sein d’un grand groupe d’amis et la façon dont, au fil des années, leur relation s’est resserrée pour devenir un pilier du quotidien.
Avec humour et spontanéité, Anton et Armelle ont exploré à mon micro leurs souvenirs marquants, leur vision de l’amitié fille-garçon mais aussi la place que peuvent prendre les partenaires amoureux dans une relation amicale aussi forte. Vous verrez, cet épisode est plein de tendresse, parfois teinté de pudeur et traduit une relation douce et pleine d’humour.

Avec Armelle et Anton, nous avons parlé des trajets en bus et des parties de loup-garou, des placards à bonbons dévalisés, des débats sans fin et de religion, de l’amitié à distance… mais surtout, d’une complicité qui traverse le temps.

Je vous souhaite une très belle écoute

Nous nous retrouvons aujourd’hui pour la deuxième partie de l’épisode que j’ai enregistré avec Juliette !

Cette fois-ci, Juliette nous parle de son rapport à l’amitié pendant ses études supérieures et comment ce dernier a évolué, avec toujours en ligne conductrice le besoin de fusion qu’elle recherche, sans jamais vraiment l’atteindre. Elle revient sur son intensité émotionnelle et l’impact que cela avait sur ses relations mais aussi sur la manière dont elle a apaisé cette tempête pour trouver une forme d’équilibre.

Avec Juliette nous avons parlé de franchise , des gens qui nous voient grandir et du déconfinement , de l’alcool qui fait dérailler et des copains qui partent en Erasmus , de la difficulté de garder des amitiés et de la thérapie qui apaise mais aussi des attentes inégales et du besoin de fusion.

Pour ce nouvel épisode, c’est Juliette qui est venue à mon micro. A 23 ans, Juliette revient sur ses histoires d’amitié entre la primaire et le lycée, des périodes marquées par une forme de harcèlement scolaire, d’exclusion et d’isolement.

Elle nous raconte les problématiques de santé mentale qui se jouaient pour elle à ce moment là et explique avec justesse l’influence que cela pouvait avoir sur ses amitiés, sur ses comportements et sur sa manière de s’attacher ou non aux personnes qui l’entouraient. Elle nous partage son désir rarement assouvi d’appartenir à un groupe et comment certaines amitiés l’ont aidé à traverser ces années compliquées.

Avec Juliette nous avons parlé du besoin d’être tactile avec ses amis, des câlins qui recollent le coeur, de la musique qui sauve, du manque de vocabulaire pour parler d’amour, du sentiment de trahison et des amitiés qui s’étiolent, de la colère qui prend toute la place, de dépendance, mais surtout de l’alternance entre l’isolement et la fusion.

Pour ce nouvel épisode, c'est Elena qui est venue à mon micro témoigner de ses histoires d'amitiés. Elena a 28 ans, et elle nous livre un récit qui décortique les liens et les imbrications entre ses relations de couple et ses amitiés au fil du temps. Elle nous parle de l'équilibre entre ces deux sphères de vie parfois difficile à trouver , jusqu'à une séparation qui fait voler en éclat son groupe de toujours. Elle nous raconte la place de l'amitié lorsqu'elle subissait une relation violente et comment elle a aujourd'hui réussi à se reconstruire et à tout concilier pour être plus épanouie que jamais.

Bien qu'aucun détail graphique ne soit mentionné dans cet épisode, je vous informe que le sujet des violences conjugales y est abordé. Assurez vous de l'écouter dans un moment où vous vous sentirez prêts.

Avec Elena, nous avons parlé des filles qui jouent au foot et des garçons qui dansent, de l'amitié fusionnelle et de jalousie, des départs à l'autre bout du monde, des nuits galères, des conversations sur kik, des rendez-vous annulés, mais aussi des amis qui prennent parti, et de celles qui restent, quoi qu'il arrive.

Je vous souhaite une très belle écoute.

Un podcast par Alice.

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Si vous êtes vous même concerné.e par le sujet des violences conjugales :

Pour des informations, appeler 3919. Numéro destiné aux femmes victimes de violences, à leur entourage et aux professionnels concernés. Appel anonyme et gratuit du lundi au dimanche : de 9h00 à 22h00 du lundi au vendredi et de 9h00 à 18h00 samedi, dimanche et jours fériés.

Pour une intervention de la police appelez le 17.

Pour un signalement, envoyez un SMS au 114.

Pour ce nouvel épisode, j'ai reçu Antonin à mon micro. A 23 ans, Antonin est revenu avec humour et spontanéité sur son parcours amical et les relations qui l’ont marqué. Il nous raconte notamment sa rencontre avec ceux qu'il appelle aujourd'hui "les élus" et qui l'accompagnent depuis des années. C'est avec eux qu'il a partagé ses déboires amoureux, découvert comment se positionner lors des conflits et expérimenté des consommations variées. Aujourd’hui, il exprime avec sincérité la manière dont il trouve son équilibre autour de ce socle indispensable à son épanouissement.

Avec Antonin, nous avons parlé de faire le pitre en classe, des geeks qui prennent l'air, de s'ennuyer avec ses amis, des covoiturages gênants, de la tradition du weekend, d'amitié fille-garçon mais aussi d'être à sa juste place dans un groupe, de confiance absolue et d'honnêteté.

J'espère que cet épisode vous fera autant sourire que moi lors de l'enregistrement.

Je vous souhaite une très belle écoute.

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Un podcast par Alice G.