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Le commandant du Bayard ne respirera à l'aise qu'une fois à Cayenne, sa cargaison de forçats débarquée, car quelque chose se prépare, il le sent. La mise aux fers de Chéri-Bibi, chef occulte et incontesté des forçats, ne le rassure pas et il a raison: Chéri-Bibi s'évade et s'empare du navire.

Henri de Lagardère, le bretteur célèbre, toujours prêt à s'enflammer pour les entreprises qui font appel à son grand cœur. On trouvera ici retracées les mille périls qui marquent la vie du jeune Henri depuis l'époque où, ses parents ayant été sauvagement assassinés sur ordre du duc de Mantoue, il est recueilli et sauvé de la mort par un brave curé de campagne jusqu'au jour où il repart en chantant affronter un destin qui sera héroïque.

Vénus est une H.N.A. - humaine non-améliorée - qui rêve de quitter sa banlieue défavorisée pour vivre à Solon, la capitale d'Allantys, à la pointe de la modernité. Mais comment trouver un emploi et envisager l'avenir sans moteur de recherche greffé dans le cerveau et sans puce d'identification ? Comment devenir riche et célèbre quand on est née en marge du système ? Quand elle apprend qu'elle est la grande gagnante d'un concours national sur plus de vingt mille candidats, son rêve prend forme.

Dernier volet de la vengeance de Lagardère. Parviendra-t-il à tenir son serment ?

Fatalitas ! Après s'être emparé du Bayard, bateau-cage à destination du bagne de Cayenne, l'indomptable Chéri-Bibi trouve sur sa route l'individu qu'il hait le plus : le marquis du Touchais, l'homme qui lui a ravi sa belle Cécily. Mais la vengeance se déguste comme la viande... froide.

Si tu ne vas pas à Lagardère, Lagardère ira à toi ! Les aventures d'un légendaire bossu, justicier du duc de Nevers et de sa fille la belle Aurore. Le fils de Paul Féval a donné au "Bossu" une suite aux rebondissements multiples. Pour cela, il a modifié le dernier chapitre du "Bossu". Philippe de Gonzague enlève Aurore et se dirige vers l'Espagne.

Arigonde dit le Parisien, fric-Frac, le Caïd, le Bêcheur, Palas n'a pas pires ennemis à Cayenne et il passerait de mauvais quarts d'heure sans la protection du "dab du Pré", autrement dit le roi du bagne Chéri-Bibi. Celui-ci l'a pris en affection parce qu'il le sait injustement condamné et a décidé de l'aider à s'évader pour qu'il refasse sa vie.

Comment ce jeune et brillant sergent des gardes françaises, qui n'a pour identité qu'un simple prénom, Philippe, parviendra-t-il à retrouver sa véritable origine ? Il peut compter sur l'aide loyale de Cocardasse, maître bretteur expert en coups subtils et bottes secrètes, et sur son inséparable Passepoil. Mais ce "bon M. de Peyrolles" n'hésitera pas à lui porter dans l'ombre des coups propres à abattre son ardeur et son courage.

Un vieil homme, tout voûté, traînant la jambe, parcourt les rues de Paris, un panier de cacahuètes au bras. Sa silhouette est familière aux habitués des terrasses des Champs-Élysées comme à la jeunesse du quartier Latin. "Papa cacahuètes" se moque pas mal des quolibets, sur son passage. Il poursuit son bonhomme de chemin avec une idée fixe en tête. Une idée formidable ! Faire de son fils le maître de la France ! Car il a un fils, ce loqueteux !

La suite des aventures de Palas que nous avons laissé dans une fâcheuse situation avec Chéri-Bibi.

Lagardère doute. Arrivé trop tard sur les lieux, il ne peut que constater la tour effondrée. Aurore est-elle toujours vivante ?

L'histoire débute en France à la fin du règne de Louis XIV par un assassinat. Philippe, duc de Nevers, possède tout : la beauté, l'esprit, la noblesse, la richesse, un talent d'épéiste hors-pair - toute la France ne parle plus que de la célèbre "botte de Nevers" capable d'expédier ad patres n'importe quel escrimeur d'élite en le touchant entre les deux yeux. Il a surtout l'amour d'une adorable demoiselle - la belle Aurore de Caylus.

Jeune Juif persécuté à Paris sous l'occupation allemande, le héros de ce roman se retrouve en Israël après la Guerre des Six Jours, citoyen d'un pays devenu à son tour occupant de territoires arabes. David, que les souffrances de sa jeunesse ont profondément marqué, ne peut s'empêcher de réfléchir au destin d'un peuple condamné autrefois par sa faiblesse à endurer les humiliations et les tortures, condamné aujourd'hui par ses victoires à glisser vers le rôle de l'oppresseur, peut-être un jour du bourreau.

L'histoire, racontée à la première personne, est l'autobiographie d'un cheval nommé Prince Noir qui commence sa vie poulain dans une ferme anglaise. Le roman raconte les mésaventures de ce cheval, vendu par ses premiers propriétaires, jusqu'à devenir cheval de fiacre dans les rues de Londres. Tout au long de l'histoire, Prince Noir est confronté à la cruauté ou la sympathie des hommes, et continue à faire le travail qu'on lui demande avec courage.

Un garçon et une fille s'aiment dans l'Israël admirable et irritant des pionniers et des adolescents orgueilleux, des arbres de cinq ans, des frontières trop étroites. Mais, entre Jacques qui n'est pas Juif et vient de France et Ohra l'Israélienne, la guerre se glisse qui entraînera la Fille de Tel-Aviv jusqu'aux rives de Charm el Cheik, plus loin, encore plus loin, à la recherche d'une patrie que les difficultés de la vie quotidienne lui avaient fait oublier.

L'auteur, atteint d'une surdité dès l'âge de six ans, décide après ses études de travailler comme éducatrice auprès des enfants sourds. Ce témoignage brise le silence imposé par la surdité et réveille les mots pour leur rendre la parole.

Vincente de Movis veille farouchement auprès de Monsieur de Norhac dont elle veut capter l'héritage. Ainsi, par la méchanceté d'une femme, la petite Magdalena de Norhac va-t-elle se trouver réduite à l'état de Cendrillon. Un roman passionnant, semé de coups de théâtre, où le thème de Cendrillon est merveilleusement rajeuni.

Le lieutenant Rodolphe de Fragon, sans fortune et endetté, se résigne à contracter un très riche mariage avec Gilberte de la Saponaire, mariage que le tuteur et l’entourage de la jeune fille semblent pressés de conclure rapidement, ce qui fait naître quelques soupçons dans l’esprit du jeune homme. Marié, Rodolphe apprend avec stupéfaction que sa femme aurait dû épouser un M. de Placeraud et il ne s’explique pas la haine qui dresse toujours Gilberte contre son tuteur. Il ne comprend pas non plus pourquoi elle se refuse obstinément à lui.

Unie, dans des circonstances étranges, à Yves Le Kermeur, Noële Sabatier découvre avec stupeur que son mariage n'a été qu'une duperie. Aucune intimité, pendant leur lune de miel, n'existe entre les jeunes époux. Quels mobiles ont poussé Yves à vouloir, dans ces conditions, unir sa vie à la sienne ? Car c'est un homme inconnu d'elle, à peine entr'aperçu dans l'obscurité de la chambre nuptiale, qui lui prend les lèvres et lui murmure des mots d'amour.