Dans ce 7ᵉ épisode de Tout Sa M’ira, je vous lis un extrait de mon livre « Entre les versets — premier fragment d’un chemin intérieur ».

Ce passage s’intitule « L’école du vide » et s’inspire du verset 51 de la Sourate 2 (Al-Baqara) du Coran :

« Et lorsque Nous donnâmes rendez-vous à Moïse pendant quarante nuits… »

Ce verset m’a inspiré une réflexion sur le silence et la solitude — non pas comme un manque, mais comme une école invisible.

Ce que l’on perçoit comme un vide est parfois un rendez-vous avec Dieu, un espace où Il parle autrement : sans bruit, sans signe, mais avec clarté.

Un texte pour celles et ceux qui cherchent à comprendre le sens caché du silence,

et à écouter ce que le vide veut enseigner.

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Mon poème « Esseulée » est un regard sur la solitude, celle qu’on traverse, qu’on tait, et qui parfois nous façonne autant qu’elle nous blesse.

Une poésie introspective, entre spoken word et émotion brute, extraite de mon recueil « Être & Avoir », à paraître bientôt.

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Aujourd’hui je partage avec toi un de mes aphorismes qui parle de mémoire, de rancune et de paix.

Parce que tant que des fautes restent sans excuses, et que les mémoires demeurent fermées, l’humanité rejoue les mêmes drames, comme si elle n’apprenait rien.

Un texte bref, mais qui interroge :

comment apprendre à guérir collectivement, sans oublier ce qui nous a blessés ?

est extrait d’un de mes prochains livres « Aphorismer le monde ».

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Après la chanson Ne rien oublier et le chapitre L’ombre du pardon tiré de mon livre Entre les versets,

je poursuis ce chemin intérieur avec une tribune qui me contredit, ou peut-être… qui me complète.

Parce que la paix ne se trouve pas toujours dans la cohérence,

mais dans la tension entre la mémoire et le pardon, entre la justice et la miséricorde.

Ce texte s’intitule « Ne rien oublier, et pourtant pardonner. »

C’est une tentative — fragile, sincère — de comprendre comment on continue d’aimer un monde qui blesse,

et comment on avance sans trahir ce qu’on a vécu.

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