Avant, les manifestant·es craignaient d'être placé·es en garde à vue. Désormais, leur peur, c'est de finir mutilé·es. Le savoir-faire français de pacification du maintien de l'ordre a lontemps été reconnu –il est désormais pointé du doigt. Les lanceurs de balles de défense, tant décriés, sont-ils nécessaires? Des «voltigeurs» aux brigades de répression de l'action violente motorisées, quelles évolutions du côté des forces de l'ordre? Quelles alternatives peuvent-être espérées pour un meilleur maintien de l'ordre?  

Dans Les forces du désordre, la journaliste Samia Basille vous emmène au cœur des manifestations et donne pour la première fois la parole aux forces de l'ordre comme aux manifestant·es pour comprendre l'escalade de la violence et recréer un dialogue devenu impossible. Face à l'incompréhension, face aux fantasmes,

Les forces du désordre répond avec des faits: sur les actions des manifestants, sur la répression, sur la couverture médiatique, sur la réponse judiciaire.

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Générique: «Gray State (Saeptem Désordre Edit)», S3th

Depuis le début du mouvement des «gilets jaunes», le journaliste David Dufresne compte. Il compte les blessé·es. Fin novembre, après 861 signalements sur sa plateforme en ligne, il recensait deux décès, 316 blessures à la tête, vingt-cinq personnes éborgnées, cinq mains arrachées. Le gouvernement brandit d'autres chiffres: ceux des policiers blessés (au nombre de 1.963 selon le ministère de l'Intérieur), des vitrines cassées, des enseignes pillées. 

Et si, après la manifestation, on faisait les comptes? Qui est désigné comme responsable, et de quoi? Quels sont les recours, côté manifestant·es et côté forces de l'ordre, face à ce qui est considéré comme inacceptable? Qu'en dit la justice?

Dans Les forces du désordre, la journaliste Samia Basille vous emmène au cœur des manifestations et donne pour la première fois la parole aux forces de l'ordre comme aux manifestant·es pour comprendre l'escalade de la violence et recréer un dialogue devenu impossible. Face à l'incompréhension, face aux fantasmes,

Les forces du désordre répond avec des faits: sur les actions des manifestants, sur la répression, sur la couverture médiatique, sur la réponse judiciaire.

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Générique: «Gray State (Saeptem Désordre Edit)», S3th

Lors des mouvements sociaux, la bataille ne se joue pas que dans la rue. Elle est aussi sémantique. Les mots ont leur importance: ils servent à légitimer l'action de son propre camp comme à condamner la violence de celui d'en face, à travers des slogans ou par médias interposés.

Dans Les forces du désordre, la journaliste Samia Basille vous emmène au cœur des manifestations et donne pour la première fois la parole aux forces de l'ordre comme aux manifestant·es pour comprendre l'escalade de la violence et recréer un dialogue devenu impossible. Face à l'incompréhension, face aux fantasmes,

Les forces du désordre répond avec des faits: sur les actions des manifestants, sur la répression, sur la couverture médiatique, sur la réponse judiciaire.

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