Les études supérieures sont souvent perçues comme un moment de forte socialisation, entre les soirées étudiantes, les erasmus, les associations, et même cette engeance venue droit des enfers : les travaux de groupe. Pourtant, c'est aussi une période difficile de la vie, pendant laquelle on est parfois soumis aux doutes, au manque d'argent voire de temps, et à la pression de réussir, notamment à trouver "sa voie" (comme s'il n'y en avait qu'une, et qu'elle était sacrée). Pas étonnant qu'il s'agisse d'un moment où les rivalités sont parfois exacerbées. Alors, comment se fait-il que, aujourd'hui, une part importante de notre cercle d'ami·es nous vienne de nos études ? Est-ce parce qu'on les a rencontrés plus tard, à une période de plus grande maturité relationnelle ? Ou bien parce qu'on présente des centres d'intérêt communs, qui ont été mis en valeur pendant les études ? Nous explorons ces questions, et bien d'autres, dans cet épisode.

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As-tu déjà ressenti une pointe de stress, juste avant que deux de tes ami·es, issu·es de cercles différents, ne se rencontrent ?

Mélanger ses cercles d’ami.e.s est un sujet qui divise, si certain.e.s le font tout naturellement, d’autres ne s’y risqueraient pas. C’est pourquoi nous avons décidé de consacrer un épisode à ce thème !

Bien des obstacles s’imposent au fait de rassembler différents cercles. Au delà de la logistique, s’assurer que tout le monde passera un bon moment peut suffire à faire monter la pression, d’autant plus dans le cadre d’événements qui catalysent des rivalités, comme les EVJF par exemple. La perspective de mélanger ses ami.e.s semble réveiller différentes angoisses : de la peur du rejet à la FOMO, en passant par la crainte que personne ne vienne, autant de raisons qui peuvent refroidir l’envie de se lancer dans l'aventure.

Pourtant, nous sommes persuadées que mélanger ses ami.e.s peut être une grande source de joie. Ces moments offrent des boost de confiance et des shots d’amour, pour celleux qui organisent comme pour les invité.e.s. Il paraîtrait même que cela peut, à terme, renforcer nos relations (big up à la fermeture triadique) !

Que ce soit pour un micro événement ou un maxi moment, voir des amitiés naître peut être magnifique. Et puis, est-ce vraiment dramatique, si nos ami·es refusent, le moment venu, de se mêler les un·es aux autres ?

Embarquez avec nous et venez vous laisser convaincre par notre Hot take: mélanger ses cercles d’ami.e.s, c’est cool!

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Cet épisode parle de :

• rivalité,
• shot d’amour,
• confiance en soi,
• fermeture triadique (promis, on vous explique tout !)
• peur du rejet.

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La figure de la meilleure amie est partout – littérature, cinéma, ou musique, et tout particulièrement dans les œuvres destinées aux jeunes filles. Mais existe-t-elle ailleurs que dans notre imaginaire ? Qu’est-ce que cela signifie, en réalité, d’être la meilleure amie de quelqu’un·e ?

Dans cet épisode, on explore les multiples facettes de cette figure avec laquelle on a grandi : l’amie-refuge, celle que l’on connaît depuis notre plus tendre enfance et dont on n’a jamais repensé le statut, ou la confidente qui nous connaît mieux que quiconque, vers qui on se tourne dans les hauts et les bas…

Ce statut exclusif promet une proximité unique, qui peut parfois donner aux autres le sentiment d’être rejeté·es à la périphérie de notre vie. À cela, s’ajoute la pression sociale à « avoir une meilleure amie », en particulier dans l’enfance. Ne pas avoir de meilleur·e ami·e, c’est aussi parfois se sentir relégué·e au 2nd plan, comme si l’on ne méritait pas d’accéder à cette place si convoitée.

À travers nos trajectoires diamétralement opposées, nous décortiquons ce qui rend la meilleure amie si singulière : ce qu’elle apporte de soutien et de joie, et les douleurs qu’elle peut engendrer. Que tu aies toi-même une meilleure amie, ou que tu sois allergique à ce statut, tu trouveras de quoi nourrir ta pensée et tes représentations de cette fameuse BFF.

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Cet épisode parle de : soutien inconditionnel, confidences, amitié d’enfance, soin, rejet, insécurités

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