On croit les connaître. Beethoven, Mozart, Bach, Ravel, Haendel, Mendelssohn… Leurs noms sont gravés dans l’Histoire, leurs œuvres résonnent dans les salles de concert du monde entier et le visage de ces géants semble appartenir à un panthéon éternel, figé
dans la grandeur de leur génie. Leurs prénoms seuls semblent suffire à les identifier. Wolfgang, Ludwig, Antonio, Clara... Et pourtant… Derrière les partitions, sous les perruques poudrées et les regards sévères, se cachent des êtres humains aussi passionnés
que tourmentés, aussi brillants qu’imparfaits et parfois, souvent même, imprévisibles.

On croit les connaître. Beethoven, Mozart, Bach, Ravel, Haendel, Mendelssohn… Leurs noms sont gravés dans l’Histoire, leurs œuvres résonnent dans les salles de concert du monde entier et le visage de ces géants semble appartenir à un panthéon éternel, figé
dans la grandeur de leur génie. Leurs prénoms seuls semblent suffire à les identifier. Wolfgang, Ludwig, Antonio, Clara... Et pourtant… Derrière les partitions, sous les perruques poudrées et les regards sévères, se cachent des êtres humains aussi passionnés
que tourmentés, aussi brillants qu’imparfaits et parfois, souvent même, imprévisibles.

On croit les connaître. Beethoven, Mozart, Bach, Ravel, Haendel, Mendelssohn… Leurs noms sont gravés dans l’Histoire, leurs œuvres résonnent dans les salles de concert du monde entier et le visage de ces géants semble appartenir à un panthéon éternel, figé
dans la grandeur de leur génie. Leurs prénoms seuls semblent suffire à les identifier. Wolfgang, Ludwig, Antonio, Clara... Et pourtant… Derrière les partitions, sous les perruques poudrées et les regards sévères, se cachent des êtres humains aussi passionnés
que tourmentés, aussi brillants qu’imparfaits et parfois, souvent même, imprévisibles.