18 décembre,5 h 10

25. – Comme Je t’aime, Je t’enlève le poids de tes préoccupations

Seigneur Jésus, je veux Te présenter tout ce qui m’empêche d’entrer dans les profondeurs de mon être. Mon esprit est demeuré accroché au dossier dans lequel j’ai travaillé hier soir; j’y cherche encore dessolutions.

Je sais bien, Seigneur, que seul je suis impuissant; mais viens agir en moi d’abord afin que je sois toutà Toi. Je sais que c’est l’essentiel. Je Te redis mon "oui”; j’ai besoin de Ton aide. Lorsque je suis laisséà moi-même, c’est le grand Léandre qui refait surfaceet qui veut tout planifier, solutionneret organiser.

Je T’abandonne ce poids de vouloir être grand. Tout petit devant Toi, je veux me retrouver afin d’être entièrement guidé par Toi. Merci d’entendreet d’exaucer maprière.

« Mon fils, mon tout-petit, Je cours vers toi pour venir à ton aide. Je te prends dans Mes bras ; laisse-toi reposer contre Mon Cœur. Redis-Moi ton amour. Ton besoin est avant tout de te sentir aimé. Je suis la Source de l’Amour.

Comme Je t’aime, Je t’enlève le poids de tes préoccupations. Tu as fait ce qui était en ton pouvoir ; laisse-Moi agir à travers les autres ; fais-Moi confiance, oublie ce dossier. Je t’inspirerai en temps voulu si réellement tu dois agir

de nouveau. Tu es en vacances avec ce dossier pour le moment, profites-en pour te laisser unir à Moi.

Tendrement, Je t’aime. »

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30 janvier,3 h 00

52. – Ce que je veux t’apprendre c’est de bien faire la différence entre le travail et la préoccupation

« Mon tout-petit, reviens vers Moi, tourne ton regard davantage vers Moi.

Tu te laisses facilement distraire par la préoccupation des affaires. Tu t’en préoccupes comme si tout reposait sur toi, alors que tout repose sur Moi, ton Dieu.

Souviens-toi de ce que Je t’ai dit : Je m’occupe des moindres détails ; Je t’ai pris en charge ; tu as trouvé grâce à Mes yeux ; tu es Mon choisi, Mon tout-petit que J’aime et que Je chéris.

Viens te reposer sur Mon Cœur, remets-Moi ton fardeau. Tu trouveras que Mon joug est léger.

Avec ta permission, Je coupe les attaches, les unes après les autres pour te rendre entièrement libre. Toi, tu crois que la vente de ton entreprise te rendra libre... Moi, Je sais que la liberté réside dans ton cœur.

C’est ton cœur que Je veux rendre libre, car Je le veux tout à Moi. Tu as accepté de Me donner la première place au rang de tes activités, ce qui Me réjouit. Je veux toutefois te combler davantage au niveau de ton cœur.

Peu importe ce qui se passera autour de toi, toi, tu seras totalement à Moi. Tu ne nourriras qu’une seule préoccupation, celle de demeurer totalement à Moi, celle de te laisser aimer par Moi et ainsi tu deviendras l’Amour.

Devenir l’Amour c’est être constamment en relation intime avec Moi, coupé des préoccupations du monde. J’ai bien dit des préoccupations, Je n’ai pas dit que tu n’avais pas à travailler dans le monde. Ce que Je veux t’apprendre c’est de bien faire la différence entre le travail et la préoccupation.

Le travail c’est ton agir, alors que la préoccupation engage ton cœur. Moi, c’est ton cœur que Je veux totalement à Moi.

Par toi-même, Je sais bien que tu ne peux y arriver ; ce n’est pas ton œuvre, c’est la Mienne. Cependant, J’ai besoin de ton consentement et Je veux que tu saches clairement en quoi consiste ton “oui”.

J’ai entendu ta réponse et Je coupe de nouveau d’autres attaches et, petit à petit, tu vas te rendre compte des changements. Le travail est déjà commencé.

Parce que l’Amour t’aime, Il te rend libre, et tu deviens l’Amour. Autrement dit, parce que tu deviens libre, tu deviens l’Amour et parce que tu deviens l’Amour, tu deviens libre.

À chaque fois que tu as une préoccupation, au lieu de chercher à la résoudre, empresse-toi de me la donner. Je t’en fais la promesse, elle deviendra Mienne et J’agirai rapidement.

Je prends ta préoccupation en ce qui concerne la vente que tu portes dans ton cœur, et très rapidement elle sera conclue.

Que ton cœur demeure tourné vers Moi pour goûter

Mon Amour.

Parce que Je t’aime, tu deviens l’Amour. Tendrement,

Je t’aime. »

Je Vous donne toutes mes préoccupations. Je Vous remercie de les faire Vôtres. Je ressens une grande paix et je ne sais comment Vousremercier.

Je comprends que j’ai à consentirà un revirement important lorsqu’une préoccupation se présenteà moi; dans le sens que je dois m’appliquerà demanderà Dieu de m’éclairer au lieu de chercherà trouver immédiatement unesolution.

Je dois commencer par la donnerà Dieu et attendre que les lumières me soient données pour voirla solution.

En me dirigeantà la Messe de7 h 00, la solution m’est apparue très claire. Je savais exactement l’attitude que je devais prendre, et plus que cela, dans la journée j’ai parlé aux trois personnes avec qui je devais négocier et elles se déclarèrent en accord avec moi. L’une d’elles m’a dit être arrivéeà la même conclusion que moi.Je Vousaime.

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L'attitude du tout-petit n'est pas de l'infantilisme est le théme de cette rediffusion Live.

Venez vous joindre à Guy

Bonne écoute!

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