Et si la mort n’était que le commencement ?

"J’ai toujours cru que la mort était synonyme de fin, d’un aller sans retour. A l’évidence, je me trompais. Quand je pense qu’il y a quarante-huit heures, j’étais morte, et que je suis là, assise dans un fauteuil, en vie... Pas à moitié en vie, genre vampire qui joue les boules à facettes au soleil, je veux dire réellement en vie. "

A la suite d’une rencontre malencontreuse avec un homme qui s’avère être un incube, Anya passe de vie à trépas. Alors qu’elle attend de voir apparaitre la lumière au bout du tunnel, elle se retrouve projetée dans le bureau d’un Ange qui lui annonce que sa mort est une erreur. Cet être céleste lui propose de revenir à la vie contre dix années de bons et loyaux services auprès d’un être angélique.

Autant dire que son choix est vite fait ! Elle a vingt-quatre heures pour simuler sa disparition et se rendre à Cork afin d’y être formée à assister un Ange.

Très vite, elle est mise au service d’Aédan Aingeal, un Gardien aussi craint que respecté. Elle se retrouve alors mêlée à une sombre histoire de disparitions sur laquelle elle devra assister son nouveau patron.

Et vous, qu’auriez-vous choisi ?

Née en Belgique en 1986, Stéphanie Piccillo est professeur de français dans un établissement d’enseignement spécialisé de forme trois.

En 2021, elle se lance dans l’écriture en auto-édition avec son premier ouvrage : « Anya-Première Mort ».

Sérievore et fan de musique pop-rock, son genre de prédilection est la fantasy urbaine. Elle prend d’ailleurs plaisir à distiller, dans ses romans, quelques références à la pop-culture, et ce, toujours avec humour.