Dans cet épisode, Safaa raconte comment elle a réappris à voir Allah comme Il mérite d’être vu : non pas à travers nos peurs, nos manques ou nos blessures… mais à travers Sa générosité et Sa sagesse. Elle parle de ces portes qui se ferment, parfois brutalement, et qui nous laissent croire qu’Allah nous abandonne… alors qu’en réalité, Il nous protège, Il nous détourne, Il nous prépare. À travers son cheminement, ses doutes, ses élans du cœur et son voile — cette protection qui apaise, qui recentre, qui élève — Safaa a appris à faire confiance, vraiment. À voir que chaque détour était une direction. Que chaque attente était un cadeau. Que chaque difficulté était, au fond, un signe d’amour. Elle nous amène à une réflexion magnifique : Et si tout changeait le jour où l’on choisit d’avoir une bonne vision d’Allah ?

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Dans cet épisode, elle raconte comment elle a survécu à ce qu’on appelait « l’amour » : un amour déformé, violent, qui brise, isole et étouffe. Elle a connu la peur, l’hôpital, la solitude… jusqu’au jour où une dou‘a l’a ramenée vers la sortie. Parce qu’il existe « l’amour », parfois destructeur, et il existe L’AMOUR, celui d’Allah : illimité, pur, guérisseur.

À travers son cheminement, son voile, ses rencontres et ses pertes, elle a appris à se reconstruire et à reconnaître la seule forme d’amour qui ne trahit jamais.

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Dans ce hors-série, on explore les doutes qui se glissent autour du hijab : ces moments où l’on se sent moins légitime, moins belle, moins reconnue. On parle du beauty privilege, des portes qui semblent se fermer, du regard des autres, du travail, de la famille… et de tout ce que ces perceptions viennent ébranler en nous.

Mais surtout, on apprend à changer de prisme : à regarder la femme non plus par le prisme du paraître, mais par celui de l’être. À remettre du sens, de la profondeur, de l’intention. À se détacher du bruit des réseaux, des comparaisons, et à revenir à ce qui compte : la sincérité, la foi, la valeur intérieure.

Un épisode comme une respiration douce, où l’on questionne, on comprend, on apaise, et où l’on se rappelle que le voile n’est pas un poids, mais un chemin. Un voyage qui commence à l’intérieur.

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Très jeune, elle a dû porter plus que son âge, pour accompagner sa maman dans une épreuve douloureuse. Les angoisses lui nouaient le ventre, jusqu’à ce que l’internat lui offre enfin un souffle et un espace pour se retrouver.

Loin, elle a appris à s’écouter, à se reconstruire, et la foi est venue éclairer son chemin.
Aujourd’hui, les liens se réapprennent. Une histoire de transformation, née du courage de se préserver.

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Elle a grandi dans une famille où la foi existait sans vraiment s’exprimer. C’est à la mort de son père que tout a basculé, sa première mosquée, sa première prière, ses premiers frissons.

Mais derrière cette quête de lumière, il y avait une blessure profonde, un passé qu’elle tentait d’oublier. Une féminité brisée, qu’elle apprendra à réapprivoiser.

Cet épisode est l’histoire d’une renaissance, celle d’une femme qui a trouvé dans l’amour d’Allah la force de guérir, et d’aider les autres femmes à en faire autant.

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Sarah a porté le voile très jeune, par promesse, par amour, mais sans vraiment en comprendre le sens.
Longtemps, son hijab a été comme un uniforme, un signe d’appartenance plus qu’un choix du cœur.
Entre les regards, les contradictions et le besoin de plaire, elle a traversé cette période sans vraiment savoir pourquoi elle le portait… jusqu’au jour où elle a découvert Qui est Dieu.

Dans cet épisode, Sarah raconte comment la connaissance d’Allah a bouleversé sa vision du monde, du voile, et d’elle-même.

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Elle a perdu la vue, mais trouvé la lumière. Elle a perdu un être, mais découvert la foi. Printemps Blanc est le poème que Narymène a écrit pour sa grand-mère, celle qui lui a transmis l’amour d’Allah et la pudeur du voile. À travers cet hommage, elle raconte comment les épreuves ont transformé sa douleur en foi, et son obscurité en lumière.
Cette épisode est une histoire de transmission, de courage et d’amour divin.

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Toute sa vie, elle a couru après une forme de liberté qui, en réalité, n’était qu’un mirage. Entre solitude, blessures et fuites, elle s’est perdue dans des habitudes qui semblaient l’apaiser mais qui l’enchaînaient un peu plus chaque jour. Jusqu’à ce moment de bascule, une question lancée comme un écho intérieur, qui allait transformer son regard sur elle-même et sur le monde. Ce témoignage est celui d’une quête, d’un combat contre ses propres ombres, et d’une rencontre inattendue avec la miséricorde d'Allah.

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