Dans ce podcast, j’ai la chance de remonter le temps et de faire revivre une période charnière dans la vie de chacun : l’adolescence. Cette étape unique où tout se bouscule — on se construit, on cherche des repères, on rêve beaucoup, on doute souvent, on a peur parfois… et on se découvre des envies nouvelles.
Et puis, surtout, il y a ce moment si particulier où l’on devient fan d’un artiste. Un artiste qui nous accompagne, nous façonne un peu, et devient un refuge dans lequel on aime se retrouver.

Le principe est simple : je reçois des invités qui me racontent le moment précis où ils sont devenus fans, et comment cette passion a participé à leur construction.
Quand j'étais fan, c’est un espace de partage, de souvenirs, et parfois même un petit voyage vers un temps que vous aussi, peut-être, vous avez connu.

Bienvenue dans la saison 2 du podcast Quand j'étais fan !

Et pour démarrer cette nouvelle saison en beauté, je suis particulièrement heureux d’accueillir aujourd’hui un humoriste que j’adore : Florian Guérin.
Un type — oui, j’ai dit « un type », une expression qu’on utilisait encore dans les années 90, quand on balançait tranquillement des phrases comme : « J’ai croisé un type au Franprix ». Voilà, je fais revenir des expressions qui auraient peut-être dû rester en hibernation, mais tant pis, c’est cadeau.

Avec Florian, on va parler de sa passion un peu secrète pour… l’histoire-géo quand il était au collège. Une passion intimement liée à sa prof préférée, dont je suis absolument incapable de prononcer le nom — vraiment, je laisse Florian gérer, il s’en sortira beaucoup mieux que moi.

On évoquera aussi son romantisme XXL, sa rencontre avec son amoureuse Romane — une humoriste de talent que j’embrasse très fort —, son parcours, son spectacle, et même un autre de ses univers : les comédies musicales.
Celles des années 2000, celles de Broadway… bref, on voyage large !

Petite mise en garde avant de commencer : dans cet épisode, à chaque fois que je mets un extrait musical, je m’exclame « c’est ouf, un truc de ouf ». Je le répète tellement que je me fatigue moi-même. À un moment, je me suis même demandé si je n’allais pas devoir demander des royalties au mot ouf.

Allez, c’est parti pour un épisode… eh bien oui, très ouf, presque trop ouf.

Bonne écoute à toutes et à tous.