Cette semaine : Le gouvernement Holt affronte une inflation record et l'insatisfaction en santé; 67 % des gens critiquent sa performance. Malgré une liste d'attente de 125 000 personnes, 11 cliniques visent à soigner 14 000 patients. La stratégie « La voie vers chez soi » veut réduire l'itinérance de 40 % d'ici 2029. Les défis énergétiques incluent la centrale de Tantramar et un retard de 14 millions $ à Point Lepreau.

SPÉCIALE : La stratégie « La voie vers chez soi » du Nouveau-Brunswick vise à réduire l’itinérance chronique de 40 % d'ici 2028-2029. Cette initiative repose sur quatre principes clés : renforcer la coordination, reconnaître le logement comme un droit de la personne, prévenir l’itinérance par de meilleurs plans de sortie et utiliser les données. Les mesures concrètes incluent 58 logements supervisés à Bathurst et Moncton, un plafonnement des loyers et un fonds d'urgence de 7,4 millions $ pour appuyer les partenaires communautaires.

Des audits confirment que le N.-B. a le pire bilan routier au pays, avec près de la moitié des fonds de voirie détournés des réparations basées sur les données. Entre-temps, les urgences débordent à 103 % de capacité, causant des drames pour les patients et des cibles d'attente ratées 66 % du temps. De plus, on regarde pourquoi le Canada laisse un charter américain dire que l'île Machias Seal est « sur la côte du Maine », ce qui menace notre souveraineté. Finalement, manquez pas l'engouement pour le « Speaker's Honey », qui devient vite une des nouvelles exportations vedettes de la province.

SPÉCIALE : Le rapport de 2025 du vérificateur général Paul Martin révèle des échecs de gouvernance importants. Les temps d’attente aux urgences dépassent les cibles pour 66 % des patients, sans stratégie globale. Le Nouveau-Brunswick affiche le taux de mortalité routière le plus élevé au Canada, mais manque de plan de sécurité. De plus, seulement 10 % des mesures contre la violence envers les femmes autochtones ont été réalisées, faute de surveillance adéquate.

Cette semaine : Énergie NB est dans le trouble par-dessus la tête : Point Lepreau est encore busté à cause d’un bearing, pis leur deal de centrale à gaz est sur la corde raide. Le gouvernement a droppé un budget record de 1,47 milliard $, mais les Verts chialent que l’argent des chemins, c’était de la game politique des Conservateurs. Alcool NB s’est fait ramasser pour son annonce AI cheap, et Susan Holt se bat encore avec l’EUB pour le prix du gaz. Au moins, ils couperont pas l’électricité au monde cet hiver.

SPÉCIALE : Le gouvernement provincial a déposé un budget d’immobilisations de 1,47 milliard $ pour 2026-2027. Il s’agit d’une hausse de plus de 211 millions $ comparativement au budget déposé l’année dernière. Le ministre des Finances, René Legacy, priorise l'infrastructure avec 680 millions $ de dollars pour les transports, ainsi que des investissements majeurs en santé (247 M$), en éducation (242 M$) et en logement (78,1 M$). Bien que le gouvernement vise à stimuler l'économie et combler le déficit infrastructurel, l'opposition s'inquiète des coûts élevés et de la dette.

Cette semaine : L’EUB a annulé la baisse d’essence de 8 ¢ après que l'industrie a averti que 25 % des détaillants pourraient fermer. Énergie NB a suspendu les débranchements hivernaux pour les personnes vulnérables (70+ ou < 70 000$ de revenu). Les appels pour surdoses à Fredericton ont triplé depuis 2023. La crise des tarifs américains a forcé une usine du Maine à cesser les importations de bois du N.-B.. De plus, 75 places de garderie subventionnées à Grand-Sault ont été perdues au profit du curriculum anglophone.

Cette semaine : Le Nouveau-Brunswick est confronté à des crises de santé et de gouvernance. L'attente de 24 heures aux urgences par le ministre de la Santé a souligné le besoin urgent de cliniques collaboratives, soutenu par un contrat de 270 M$ avec les médecins. Simultanément, 64 % des élus municipaux déclarent être victimes de harcèlement, menant à la dissolution de trois conseils. Économiquement, les tarifs douaniers américains sur le bois d'œuvre menacent 1 700 emplois. De plus, les coupes soudaines dans les services de dépannage des autobus scolaires ont suscité l'indignation.