Selon Moussa, interviewé durant l'évènement Villejuif Respire, 2050 sera le reflet de la créativité permanente : l'homme régénèrera encore plus son action et son imagination,

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Noam, communicante et RH en alternance pour la ville de Villejuif, projette un 2050 où l’IA accompagne sans remplacer la proximité humaine.


En évoluant entre communication et ressources humaines à la Ville de Villejuif. Le temps d’une journée à la ferme urbaine, elle devient coordinatrice, accueillant le public, animant les ateliers et guidant les visiteurs à travers des activités allant des balades à poney à la fabrication de produits ménagers bio. Dans un monde où l’intelligence artificielle transforme rapidement nos façons de travailler, elle est persuadée que certains métiers, ancrés dans la présence physique et le lien humain, resteront essentiels. Pour Noam, l’avenir est à la polyvalence et à la complémentarité entre technologie et terrain.

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Dans cette capsule, une médiatrice de 2025 à Villejuif s’adresse aux femmes de 2050. Avec force et bienveillance, elle raconte son métier, ses défis et ses réussites, et encourage les futures générations à s’engager, à prendre place dans le dialogue social et à bâtir des ponts là où d’autres dressent des murs.

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Dans cette capsule sonore née à l’événement "Villejuif respire", les enfants, familles, associations et touristes, prennent la parole pour imaginer la ville en 2050. Entre intelligence artificielle, robots, nature et futur connecté, leurs voix dessinent les rêves et les craintes d’une génération à venir.

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New City 2050 : des idées folles, douces ou géniales, signées par les enfants de Nanterre.

Une ville du futur, écolo, joyeuse… et pleine de surprises !

Ils ont entre 10 et 12 ans. Et ils réinventent la ville.

Dans New City 2050, les enfants de Nanterre prennent le micro pour imaginer leur quartier dans 25 ans.

Une ville sans voitures, où les maisons volent, où les bébés reçoivent des cadeaux à la naissance, où les arbres poussent derrière les vélos volants…

Écologie, entraide, liberté, imagination : ici, les idées ne manquent pas.

Ce podcast, écrit et enregistré avec des élèves de Nanterre, à l'Agora, fabrique des futurs, vous embarque dans un futur sensible, joyeux et parfois complètement fou, vu à hauteur d’enfant.

Bienvenue dans New City 2050, un futur qu’on a envie d’écouter.

Illustration : Jean-Baptiste Terrazzonien
Production : Les Muses de Paris

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Quand les souvenirs d’été rapprochent les générations : des jeunes de l’École de la Deuxième Chance tendent le micro aux résidents de l’Ehpad La Maison du Grand Cèdre.

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Petites oreilles, grandes découvertes au parc des Hautes-Bruyères.

Des sons, des voix, une chanson : tout a été enregistré par les enfants. Un projet d’éducation média et de captation sonore en pleine nature.

Ils ont entre 7 et 12 ans, un micro à la main, les oreilles aux aguets, et une curiosité débordante. Ce podcast a été réalisé par les enfants du centre de loisirs de l’école Hautes-Bruyères à Villejuif, dans le cadre d’un atelier d’éducation aux médias et au son. L’objectif ? Découvrir le monde de l’audio sur le terrain : pas derrière un écran, mais au cœur d’un parc, en conditions réelles, avec tout ce que cela implique d’imprévu, de spontané et de vivant. On y entend le souffle du vent, des rires qui s’échappent, le chant des oiseaux… mais surtout, des voix d’enfants qui racontent ce qu’ils ont découvert en apprenant à écouter autrement. le parc est devenu un terrain d’enquête sonore, les enfants en metteur en ondes. Ce podcast raconte leur expérience au parc des Hautes-Bruyères : prises de son, interviews, chant collectif… tout y est, et c’est eux qui mènent le jeu.

Une aventure sonore en plein air

Le parc de la Hautes-Bruyères devient ici un studio à ciel ouvert. Les enfants s’initient à :

• la prise de son : bruits de pas sur les chemins, cris joyeux des copains, chants d’oiseaux et feuillages qui frémissent ;

• l’interview en micro-trottoir : oser poser des questions aux passants, structurer son propos, tendre le micro au bon moment ;

• la prise de parole en public : se présenter, articuler, respirer, poser sa voix avec confiance.

Chaque étape a été pensée comme un jeu de rôle journalistique. Les enfants ont endossé des rôles précis : preneur de son, reporter, présentateur, régisseur, voix off… et ont peu à peu compris que faire de l’audio, c’est bien plus qu’enregistrer. C’est raconter, transmettre, écouter.

Un retour d’expérience brut, drôle et précieux

Ce que vous entendez ici, c’est leur propre récit : un retour d’expérience collectif et sincère, où chaque enfant prend la parole pour expliquer ce qu’il a appris. Pas de filtre, pas de texte récité : juste la réalité d’un atelier où l’on découvre que capter le monde, c’est aussi mieux l’observer.

À travers leurs mots, on perçoit les enjeux de l’éducation aux médias dès le plus jeune âge : comprendre ce qu’est une source, poser une question claire, respecter l’autre dans l’interview, apprendre à écouter… Le tout dans une ambiance joyeuse, créative et profondément pédagogique.

Final en chanson : quand le son devient création collective

Pour clore ce moment, les enfants ont composé et enregistré une chanson originale, avec pour seul outil… leur voix. Un défi relevé avec énergie, qui montre que l’audio ouvre un champ immense d’expressions : narration, reportage, ambiance, chant, création sonore. Pas besoin de studio pro pour faire émerger des idées fortes : un parc, quelques micros, et un cadre bienveillant suffisent à déclencher des vocations.

Un grand merci aux enfants du centre de loisirs de l’école Hautes-Bruyères pour leur enthousiasme, leur inventivité, leurs prises de parole parfois timides, souvent drôles, toujours justes. Merci aussi à l’équipe du centre, pour sa confiance et son engagement dans ce projet.

Écoutez, partagez, laissez-vous guider par leurs voix.

Parce que l’éducation aux médias commence ici : dans un parc, un jour de printemps, quand un enfant découvre que sa voix compte.

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Une émission durant laquelle les enfants ont raconter leur métier de rêve.

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