La semaine dernière nous avons célébré la journée internationale de l’épargne. C’est donc une bonne occasion pour échanger au sujet du drôle de rapport qu’entretiennent les Français avec l’argent.

On parle beaucoup aujourd’hui des ultra-fortunés et je pensais qu’il était intéressant de se pencher sur leur façon de vivre, qui est en train de changer le monde du luxe et même ce que l’on entend par ce qui est le luxe, le vrai.

L’agence Standard & Poor’s vient d’abaisser la note de la dette française, qui passe de AA‑ à A+. C’est une nouvelle dégradation, après celle prononcée par Fitch il y a quelques mois.

L’or vient de franchir la barre symbolique des 4 000 dollars l’once, en hausse de plus de 50% cette année. Mais saviez-vous que les actions des sociétés minières cotées se sont envolées de plus de 120% de hausse en moyenne ?

On entend beaucoup parler de private equity ces derniers temps, car il prend une place de plus en plus importante dans le monde des finances personnelles et de l’épargne.

Les montants liés aux escroqueries sur l’épargne sont en forte hausse : l’année dernière, plus de 20 milliards d’euros de pertes ont été recensés, et le nombre de déclarations de soupçon traitées par Tracfin a atteint un niveau record, en hausse de près de 50% par rapport à 2020.

Alors que le débat sur les acquis sociaux fait rage, et que de plus en plus de Français s'inquiètent pour leur retraite, je pensais qu’il était bon de revenir sur un dispositif d’épargne spécifiquement conçu pour nous encourager à mettre de côté pour nos vieux jours.

Fitch Ratings vient de dégrader la note de la France de AA- à A+, soit le niveau le plus bas jamais attribué par une agence majeure au pays. C'est la première fois depuis une douzaine d'années que la France perd son « double A ».