Informer au Nicaragua: une mission localement impossible qui s'opère avant tout en exil
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Pire que la Russie, Cuba ou l'Égypte, le Nicaragua est en queue de peloton en matière de liberté d'expression et de la presse : 172e sur 180, selon l'ONG Reporters sans frontières. Depuis la répression des manifestations étudiantes de 2018 par le président Daniel Ortega, une véritable chape de plomb s'abat sur les journalistes. Victimes de la brutalité du pouvoir d'une rare violence, de nombreux journalistes ont été emprisonnés et déchus de leur nationalité. D'autres n'ont eu pour choix que de s'exiler pour exercer leur métier.
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