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À la Une: Kabila réunit le front anti-Tshisekedi et produit un «chiffon», casse raté à Kinshasa symbole d’un chaos

À la Une: Kabila réunit le front anti-Tshisekedi et produit un «chiffon», casse raté à Kinshasa symbole d’un chaos

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En Une de Congo Nouveau, Joseph Kabila élargit le front anti-Tshisekedi à Nairobi. L’ancien président Joseph Kabila et plusieurs figures de l’opposition congolaise ont lancé, depuis Nairobi, au Kenya, une nouvelle plateforme politique baptisée « Sauvons la RDC », à l’issue d’un conclave de deux jours. D'après la déclaration finale de cette réunion, écrit le trihebdomadaire, « cette plateforme incarne une volonté de résistance nationale face à l’effondrement des repères républicains, à la fragilisation de l’État de droit et à la perte progressive de la souveraineté nationale ». À lire aussiRDC: à l'initiative de Joseph Kabila, une partie des opposants à Félix Tshisekedi se retrouve au Kenya Sur le même sujet, Ouragan titre : « Chiffon, aigris, fugitifs, condamnés », l'exécutif rafale Kabila et ses hommes. Le journal reprend la réaction du gouvernement : « Ce qui s'est passé à Nairobi, c'est un chiffon que les Congolais ne doivent pas considérer, c'est une distraction », a fustigé Julien Paluku, le ministre du Commerce extérieur qui était aux côtés du porte-parole du gouvernement, Patrick Muyaya, lors d’un briefing tenu mercredi 15 octobre à Washington aux États-Unis. Le quotidien Le Journal parle d’une messe noire à Nairobi : « Cette messe noire, peut-on lire, aura-t- elle un effet sur la politique congolaise ? Peut-être. Elle pourrait raviver les braises d’un camp Kabila moribond, semer la zizanie dans l’opposition institutionnelle, ou simplement rappeler que les fantômes politiques ne meurent jamais vraiment, ils voyagent, s’exilent, et parfois reviennent en hologramme. Et de conclure : À moins que la politique congolaise ne soit, au fond, qu’un éternel banquet où les convives changent de table sans jamais quitter la salle. Croisons les doigts et attendons de voir à quelle sarabande, la nouvelle plateforme politique chère à Kabila va nous convier ». Le taux de braquage élevé sème la terreur dans les villes À la Une d’Infos 27 : braquage à la Rawbank déjoué par les forces de l’ordre, aucun blessé La place Victoire de Kinshasa a été le théâtre, jeudi, d’une scène digne d’un film d’action : une tentative de braquage visant une agence de la Rawbank a semé la panique parmi clients et passants. Selon le quotidien, « grâce à l’intervention rapide et coordonnée des forces de sécurité, l’attaque a été neutralisée sans qu’aucune victime ne soit à déplorer ». Parmi les auteurs, Honorine Porsche, une ressortissante allemande d’origine congolaise. Elle a été arrêtée et a reconnu sa participation, munie d’une arme factice. Forum des As estime qu’il s’agissait d’un scénario digne de la série télévisée espagnole Casa de Papel vu de Kinshasa. Le quotidien rappelle qu’une semaine « ne se passe plus à Kinshasa sans que l’on puisse évoquer au moins un cas de braquage ». Ce phénomène se déroule tant le soir que la journée au vu et au su de tous. Plusieurs agences, banques et cambistes dans la capitale congolaise, affirme Forum des As, « sont ciblés, de grosses sommes d’argent emportées, des blessés et des morts sont comptés ». Les confrères parlent d’un taux de braquage qui présage, je cite, « un sabotage, une politique de déstabilisation à semer la terreur dans les grandes villes du pays ». Econews estime pour sa part que Kinshasa est en passe de devenir le « Port-au-Prince africain ». À lire aussiRDC: un braquage spectaculaire à Kinshasa Des gangs entretenus par les acteurs politiques En dehors du phénomène braquage, la capitale congolaise fait face également au règne des gangs « Kuluna », des milices entretenues par des partis politiques et même des acteurs politiques. Au même moment que se déroulait le braquage, un député accompagné des militaires est allé régler des comptes à un sénateur du parti présidentiel dans le quartier industriel de Kinshasa, à Kingabwa. Selon le tabloïd, tirs de balles et casses s’en sont suivis. En dehors de cela, conclut Econews, « il y a également des enlèvements à répétition avec demande de rançon, qui font que beaucoup de Kinois ont même peur de monter à bord de taxis ». À lire aussiRDC: le ministre de la Justice reste ferme sur l’application imminente de la peine de mort
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